Un Jardin après la Mousson
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 18 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 18 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 18 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Et non, malheureusement, je ne suis pas rémunérée, dommage pour moi...
Le nom d’un parfum n’est bien souvent qu’un prétexte pour créer une nouvelle odeur, peu importe qu’elle doive impérativement se reporter littéralement à ce qu’il y a écrit sur le flacon ! Un parfum est une interprétation, une vision d’un univers, d’une ambiance, perçue par ses propres sens, qui sont différents chez chacun. Alors si l’odeur de la mousson dans le Kérala a inspiré Ellena de cette façon pour créer son parfum, je m’en réjouis bien davantage que s’il avait bêtement fait un pastiche de Samsara ! Par ailleurs, en Inde, les gens ne se parfument pas qu’avec du Santal, ils portent des parfums comme tout le monde, qui sentent le citron, la rose, la lavande, la pomme, ou même le melon !