Parfum et musique : accord parfait ou dissonance ?
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 20 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il y a eu une période de mon adolescence (il n’y a pas si longtemps en fait), où j’écoutais beaucoup Queen, et à cette époque je portais Lolita Lempicka en version Eau de Minuit. Et j’ai tendance de ce fait à associer les deux. Même s’ils ne sont pas forcément destinés pour aller ensemble.
Après, on peut également adopter le raisonnement suivant : Queen=Freddie Mercury=moustache=parfum de moustachu. Il faut donc trouver un parfum qui ait suffisement de moustachitude pour pouvoir rivaliser avec la mousatchitude inhérente de Queen. (et sinon, dans le type moustachitude, j’aime aussi beaucoup The Sparks. Ron Mael est pas mal dans son genre aussi)