Ultraviolet
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Aujourd’hui, je trouve enfin un testeur de cet Ultra-violet que votre description, Jeanne, m’avait tant donné envie de sentir.
Je pshitte sur mouillette, j’attends quelques instants et je hume....le néant. Non que ce parfum ne m’inspire rien, c’est moi qui n’arrive pas à percevoir quoi que ce soit. Moi qui adooore la violette, quelle frustration !
Anosmie totale. Comme pour L’instant version edt, mais en pire cette fois. Parce que avec L’instant, j’arrivais à percevoir un fantôme d’odeur alors qu’avec Ultra-violet, rien, nada, le vide cosmique tiens !
A l’occasion je ferai un test sur peau mais sans conviction. C’est énervant cette "cécité" olfactive qui me tombe dessus sans crier gare. A votre avis à quoi donc cela peut-il être dû ?