Guerlain Homme
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je vous rappelle cher Jicky que vous avez tenté par 3 fois de m’assassiner par étouffement : en me poussant une première fois à tester à nouveau Guerlain Homme, puis la version concentrée, puis la version "classique-aspergée-sur-le-bras-sentie-4-fois-par-minutes-pendant-une-demi-journée" ! Ca m’apprendra à vous écouter ; en même temps vos commentaires sont si intéressants et convaincants que je vais sans doute me faire piéger plus d’une fois.
Par ailleurs désolé, j’avais bien compris que c’était de l’humour, mais mon ton était un peu sec (à cause d’un bon mal de crâne...la faute à qui ? - non ce n’est pas vrai -).
Au fait : Guerlain Homme est toujours présent sur mon bras, et c’est vrai qu’il est plus doux, moins fougère verte. C’est intéressant. Si vous êtes sage (je suis un peu maso), demain j’essaie la version "intense-aspergée-sur-le-bras-sentie-4-fois-par-minutes-pendant-une-demi-journée".
Bonne nuit Jicky.