Kenzo Jungle

par Farnesiano, le 11 septembre 2013
Petit conseil aux amateurs de sensations fortes et troublantes : si vous voulez un bel épicé, absolument mixte, et proche dans son coeur, de Kenzo Jungle pour Homme (je n’ai plus senti Kenzo Jungle pour femme depuis longtemps), si vous acceptez un fond moins boisé, moins sensuel, moins rond mais tout aussi chaleureux, foncez sur Caravelle épicée de Frapin ! Explosion d’épices, on ne sait plus où donner de la tête : elles vous sauteront au visage dès le début et ne vous quitteront plus jusqu’à vous donner le tournis pour à peine s’adoucir en fin de course. Mélangez toutes sortes de piments et de poivres à toute la clique des épices orientales très légèrement tempérées par les bois de santal et de gaiac, rajoutez à ce cocktail brûlant une rasade de cognac et vous obtiendrez cette somptueuse symphonie épicée d’où ne cesseront de jaillir mille éclats en fusion.
Pas évident à porter, surtout les premières minutes (un vrai coup de feu, ce départ !), le bolide accèdera peu après à un merveilleux plateau que vous ne voudrez plus quitter. Signé Jeanne-Marie Faugier, qui est aussi à l’origine de l’excellent Terre de Sarment et du sympathique Passion boisée toujours chez Frapin, ce voyage en caravelle ne s’adresse pas aux timides mais aux seuls aventuriers. Bon vent ! Farnesiano
Votre réponse
à la une
Smell Talks : 1925, le parfum dans l’Exposition des arts déco
Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
en ce moment
il y a 2 jours
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 2 jours
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Dernières critiques
Après l’amour - Infiniment Coty Paris
Volutes et voluptés
Cèdre Figalia - Atelier Materi
On dirait le Sud
Cologne Céleste - Celine
Bain de tendresse
hier
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)