Vierges et Toreros
par Opium, le 11 septembre 2014
Bonsoir Goldman.
Effectivement, Vierges et Toreros sent tout ce que vous avez dit. Tout le monde ne peut pas le porter. ^^
Pour une fois qu’un parfum se vante juste d’être ce qu’il est, ça change !
À propos de la comparaison avec Muscs Koublaï Khän, il y a bien de l’animalité en commun. Mais, olfactivement, en termes de rendu et de construction, ils n’ont que peu à voir l’un avec l’autre. Celui-ci est une rose musquée alors que celui-là est une tubéreuse cuirée fumée animalisée par une facette sébum. Rien ou presque à voir si ce n’est par l’esprit de transgression entre part d’humanité et de bestialité partagé entre les deux ; c’est un peu comme prétexter que quelqu’un qui aime le bœuf devrait aimer le veau, l’agneau, le porc ou la volaille au prétexte qu’il s’agit également de viandes...
En tous les cas, je préfère largement ce parfum à beaucoup d’autres qui sont bien plus dissonants même si, parfois, ils sont moins synthétiques. Vierges et Toreros aurait même quelque chose des ouds contemporains qui inondent le marché. En plus joli et original. :-)
Bonnes découvertes à vous.
Opium
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