Scenario catastrophe : la suite

Aaaaaaaaaaaahhhhhhhh nôôôôôôôôôôôônnnnnnnnnnn ! ! Ca recommence (bon, ok, on l’avait demandé le chaos !)...
Pré-PS : Jicky, on devrait aussi te remercier toi, et puis quelques autres également, car en moins d’un mois, + de pif pour moi qu’en quelques années, mais passons, c’est le chaos final ! Revenons donc à la "re-fin du monde" (des parfums) ! !
Bon, c’est la cata, la cata, la catastrophe (bis repetita)... Toujours par ordre alphabétique de créateur - maison de cration pour ne pas faire de jaloux et ne pas me répéter :

 
1. Annick Goutal - Ninfeo Mio : Ca s’est joué de peu avec Sables, mais parvenir à me faire apprécier la figue fraîche, presque violacée, bleue et verte (bon, là y a que moi qui me comprend), c’est épatant car j’aime et n’aime pas du tout la figue en parfumerie...

2. Chanel - Cuir de Russie : Un des rares cuirs existants avant l’emballement actuel de ne pas en faire la note centrale, mais d’en mettre un peu dans tous les parfums pour les rendre plus sérieux ("classes" diraient certains), et tant mieux !

3. Diptyque - Eau Lente : Parfum qui me suit depuis des années, est une sorte de quintessence de l’oriental boisé-épicé superbe, avec sillage, tenue, qui résume presque tout...

4. Editions de Parfums Frédéric Malle - Carnal Flower (Dominique Ropion) : Pour mon affection pour la tubéreuse, qui m’attire toujours, me donne la nausée souvent, mais pas ici (mon prochain F. Malle) ; très très serré avec Dans Tes Bras (une découverte surprenante, que j’espère avoir apprivoisée pour me radoucir au printemps), mais il me fallait une tubéreuse, et Musc Ravageur, mais déjà un musc présent ensuite ! ! Aaargghhhhh ! ! Trop dur là !

5. Etat Libre d’Orange - Sécrétions Magnifiques : Vraiment pas mon préféré, choix facile (au vu de sa réputation, me direz-vous), mais difficile en réalité et choisi par moi pour nous souvenir à quel point on peut partir loin dans le conceptuel. Et comme Dau l’a déjà souvent écrit, tout n’étant que SEX(e), y ayant attrait de près ou de loin en matière de parfum, là, on est bien dans le sujet quand même... Et, parce que j’aime les contraires forcés à se lier, pour ma réaction et celles des deux personnes avec moi lors du test, cette attirance innommable du rejet !

6. Hermès - Iris Ukiyoé : Très bel iris ; voir ce qui a déjà été dit, je ne peux faire mieux (et ferme ma g*ule pour une fois, ou plutôt, arrête d’écrire).

7. Guerlain - Spiritueuse Double Vanille : Car j’adore cette note gourmande depuis toujours, que c’est la signature de la maison, et qu’étant un peu alcoolique sur les bords, le rhum dedans "descend tout seul" ; même si je n’aime pas le rhum)...

8. L’Artisan Parfumeur - Bois Farine : A ce point dans le mimétisme, belle odeur agréable, à peine gourmande. Très inventif !

9. Réminiscence - Do Ré : Parce que personne ne devrait le citer celui-ci, et qu’assumant d’être fan malgré tout d’une certaine gourmandise, celle-ci n’ests pas trop écoeurante, et que tout y est réussi (flacon pseudo-vintage réinterprété et senteur entre doux et amer)...

10. Serge Lutens - Musc Koublaï Khân : Pour son effet (sensuel et plus) sur mon entourage, pour sa subtilité qui parvient à rendre le "sale" gouteux et sexy, beau et bien construit derrière la "bête" qui devient "belle" ! L’impression d’abandonner Fille en Aiguilles, Cuir Mauresque, Datura Noir... et plein plein d’autres... Aïe ! !

Voilà, fini ! Horrible ! Atroce !
Mais ce n’est qu’une fiction...

Vrai PS (et on ne parle pas politique ici, mais formule raccourcie de "Post-Scriptum", tout le monde l’aura compris, ici on s’emballe sur les parfums, pas la politique, bien qu’ici parfois ce soit pire !) : Quelqu’un fera les stats danq quelques semaines (qui a dit Opium-Tom au fond de son fauteuil en tapant sur son clavier, qui ? !)... ?