Jeanne Lanvin My Sin, péché de gourmandise... ou de paresse ?
par Chanel de Lanvin, le 11 mai 2017
Analyse pertinente qui réume bien la morosité que l’on rencontre dans l’univers de la parfumerie actuelle,surtout celle destinée au grand public.
Quand la fixation de faire de l’argent avec tout ce qui bouge rencontre la masse,le succès est assuré,exemple type de consommer très vite et tout de suite.
Heureusement que nous ne sommes pas tous concernés par cette machine destructrice qui considère le parfum comme une lingette pour bébé.
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