Note di Colonia I
par pasimon, le 27 décembre 2016
Nouvelle cologne Acqua di Parma et... encore une fois un hespéridé marqué par un fond cèdre-patchouli. Sauf que cette fois, la marque italienne nous promet un parfum d’exception dans un sublime écrin.
En thématique originale, je me souviens de la couture avec un Atelier Collection de chez Givenchy qui s’est révélé très banal. Voici à présent l’univers de la musique et de l’opéra évoqués au travers de ce trio de colognes.
Le départ est agréable. Des agrumes toujours, la marque de fabrique des Cologne AdP. Mais cette fois l’assemblage se veut doux et raffiné, équilibré. Pas non plus aérien du fait qu’on perçoit déjà les notes plus terreuses et la lavande qui pointent le bout de leur nez. La bergamote ressort distinctement, très légère et naturelle. Les agrumes que je trouve indiscutablement qualitatifs se marient parfaitement et l’ensemble de départ est harmonieux.
C’est là que tout se complique... Le maestro semble s’emmêler un peu les pinceaux. Dès que l’odeur des jolis agrumes de tête s’estompe, ils laissent place à une lavande perdue au milieu de notes terreuses de patchouli et de cèdre (et c’est là qu’il me semble que le côté masculin/après rasage transparaît). A certains moments, il me semblait sentir une version plus boisée et intense de Dolce et Gabbana pour Homme (flacon avec le bouchon bleu et argent). Malgré un joli départ, mon avis reste très mitigé, et je reste un peu sur ma faim... A confirmer avec les deux autres opus de cette trilogie (sur le papier, la colonia note III semble davantage me parler -avec son fameux duo vétiver tonka-, si j’ai l’occasion de la sentir je posterai un avis dessus).
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