Incarnata d’Anatole Lebreton, rouge baiser et iris lumière

par euskalpyth, le 30 novembre 2015
Sur ma peau, je ne sens presque pas les notes poudrées, elles s’estompent quasiment tout de suite, ce qui tombe plutôt bien puisque je ne suis pas spécialement fan de tout ce qui est cosmétique...
Ceci dit, Anatole explique que c’est parce qu’en fait, au bout d’un moment, on s’y habitue et on ne les sent plus, d’autant qu’elles sont "loin du nez" : elles font partie de ces matières qui font un halo à 50 ou 70 cm du point de vaporisation, alors que d’autres notes restent plus proches de l’endroit où elles sont pschittées, ce qui explique que selon l’endroit où on se situe par rapport au point d’émission, on ne sente pas la même chose !
En revanche, je développe les notes miel, voire encaustique et parfois presque anisées-vertes de la myrrhe sur ma main, ainsi que le côté chaud et rond du benjoin : ce sont très largement les aspects baumés-racinés qui l’emportent chez moi, et c’est très beau !
Poule Mouillette y sent aussi une pointe de framboise mais je dois bien avouer que je ne la perçois pas...
Je vais refaire un essai pour voir si je décèle cette framboise, car Anatole m’a dit que c’est plutôt une question de texture, et qu’il faut davantage rechercher un effet traduisant le côté velouté et quasi-duveteux de la peau de framboise, que l’odeur du fruit en elle-même...
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
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il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
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Allez... Courage !