Paco Rabanne et sa déesse de l’Olympe
par Vesper, le 7 août 2015
De passage en parfumerie, l’envie m’est venue de redécouvrir Herba Fresca, chroniquée très récemment.
Après une mouillette du "de" de Givenchy, mon regard s’est arrêté sur Olympéa.
Je me suis dit qu’il fallait honnir trop de confort et tout essayer.
C’est chose faite.
Le premier quart de seconde, j’ai pensé à Dune.
Mais ça n’a vraiment duré qu’un moment ultrafugace.
En cinq minutes, il devient aussi écoeurant qu’on pouvait s’y attendre.
Moins agressif que Lady Million, beaucoup plus pâtisseries il joue comme son homologue masculin sur cette dualité fraîcheur de tête/densité de fond au détail près que les notes marines fleurant la testostérone sont remplacées par ce qui semble être l’expression même de la féminité de ce début de XXIème siècle, la praline gluante.
J’avoue que par ce temps, je n’ai pas trop eu envie de me pencher plus avant sur la construction olfactive de ce que je considère comme une nouveauté absolument dispensable.
PS : sinon, mais je suis de parti pris puisque Mathilde Laurent est de la partie, Herba Fresca, c’est simple et souriant pour une journée d’été.
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