Œillet Bengale

par Opium, le 13 juillet 2014
Bonsoir Jicky.
Nous sommes parfaitement d’accord à propos du traitement de cet œillet qui a le double intérêt :
- de parvenir à renouveler le genre, malgré les contraintes extrêmement lourdes dans le cas présent, en faisant jouer un orgue aux épices multiples pour pallier au seul eugénol (un peu comme Thierry Wasser et Frédéric Sacone l’ont fait pour un parfum mythique de Guerlain, mais, chut, cela sera dévoilé dans la Saga de cet été... ^^) ;-), et...
- de renforcer une nouvelle marque parmi les meilleures en proposant encore un troisième parfum intéressant.
L’aura assez "à l’ancienne" mais, "bouquet à l’ancienne" plutôt que "soliflore à l’ancienne" (gavé de girofle comme l’étaient Bellodgia ou Poivre), comme dans L’Air du Temps, Opium ou Shanghai Lily qui en est proche, ne pouvait que me séduire.
Toi, moins, je m’en doutais. Les fleurs maximalistes ultra-épicées, un peu touffues dans leur rendu, n’étant pas trop trop ta tasse de thé. Tu sais en reconnaître la justesse technique et la beauté, mais, je ne suis pas surpris que tu n’adhères pas trop. C’est plutôt des trucs à la Newyorker ou à la Opium ça... ;-)
Merci pour ton commentaire.
A bientôt.
Opium
Votre réponse
à la une
Smell Talks : Conversation avec Bertrand Duchaufour
Rencontre avec le parfumeur et fondateur de la marque L’Entropiste, lors du lancement du dix-neuvième numéro de Nez, la revue olfactive.
en ce moment
Dernières critiques
Cologne Céleste - Celine
Bain de tendresse
Au-delà des rêves - Camille Leguay
Mimosa bleu
Aigue Monème - Iroise
Eau archangélique
il y a 14 heures
Après avoir reçu un échantillon d’une charmante personne du site, je restais concentré sur “une(…)