Auparfum

Le parfum fait son cinéma

Aristide

par Aristide, le 24 octobre 2019

Revu hier soir un parfait chasse-spleen automnal : The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Comment avais-je pu oublier L’Air de Panache ? Beaucoup plus qu’un accessoire de dandy : l’identité même du divin Monsieur Gustave, concierge dévoué corps (!) et âme à "son" hôtel. Mais aussi fragrance initiatique portée par les membres de la Society of the Crossed Keys, au point de sceller l’adoubement de l’impayable Zero Mustapha. Il y a bien un peu de Cyrano dans cet "Air de Panache" : la frime, la tchatche, le refus du tragique, le courage aussi face à la bêtise brute. Une excellente définition du parfum, en somme : toujours léger, jamais futile.

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Bois Brun a commenté 1697

il y a 1 mois

Allez... Courage !

il y a 1 mois

Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)

il y a 1 mois

Du coup c’est très Positif ou non ?

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