Mentha religiosa
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
J’ai découvert ce parfum grâce à la box auparfum. Et rien que pour ça je dis merci à la vie, je chante la vie, je danse la vie...euh, je m’égare.
Bref, rien ne supposait que j’aille sentir de près cet "oriental boisé", très loin de mes odeurs de prédilection, moi qui suis d’habitude presque uniquement "florale". Pire, je n’aime en général pas le patchouli, encore moins les notes de cèdre. Ce "Mentha Religiosa" est un parfum qui s’apprivoise, qui s’enroule autour de vous, pour ne former qu’un. Je n’ai pas seulement aimé, j’ai adoré.
Dès les 1ères notes, la menthe se dévoile d’une manière mystérieuse que je ne saurai décrire : loin d’être entêtante ou piquante, elle est comme une brise qui revient jouer avec nos narines. Au fil des heures, sa présence se fait plus douce, comme si elle jouait à cache-cache avec les notes boisées, qui apparaissent petit à petit tièdes, vibrantes, onctueuses. L’encens enjolive le tout de sa rondeur veloutée, arcane secrète qui se révèle pour embellir les autres notes avec délicatesse. Ce parfum s’est véritablement épanoui sur ma peau en différentes "strates" que j’ai pu sentir unes par unes tout au long de la journée, et qui pourtant forment un tout grandiose, avec toujours en note cette petite menthe fraîche et douce. Le bonus : le sentir résonner de nouveau, sous la douche brûlante le lendemain matin.
Désolée si je ne connais pas le langage de la parfumerie pour en parler, mais encore merci pour cette splendide découverte !