Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 1/4
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 2 heures
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 8 heures
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
il y a 10 heures
Bonjour tristesse. On fait tout une smala d’un insignifiant village, dans un quasi-pays,(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Merci pour l’nfo sur Nombre Noir !
Et je vous rejoins au sujet des parfums qui gardent le même nom avec un jus totalement différent : il est en effet préférable qu’un parfum disparaisse complètement, car dans ce cas, la formule est transmise et conservée à l’Osmothèque à Versailles (j’en parlerai plus longuement prochainement, promis), le parfum disparu devient alors accessible à tous. Par contre, en cas de "simple reformulation" (mais qui revient souvent à la mort pure et simple du parfum original), rien n’est donné à l’Osmothèque, et l’ancien parfum disparaît à jamais ! Absurde, non ?