Paris-Paris, le voyage immobile de Chanel
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
hier
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
hier
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
hier
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je m’inscris en faux par rapport à votre avis. De mon côté, j’aime aussi taper sur Chanel, mais j’aime bien ce nom :)
Puisqu’il s’agit d’une ligne exclusive, je prends ce nom comme une "private joke". Je prends ce nom comme une blague légère, une marque d’autodérision, et donc comme intégrant suffisamment d’intelligence. Et puis ça fait en effet un bon cadeau souvenir pour les touristes.
(Ca me rappelle les chansons qui répète "Paris, Paris". Plus particulièrement celle de Camille, qui reflète bien ma relation d’amour / haine à cette ville. Je ne dois pas être le seul à me faire une représentation de Paris, qui va du cucul la praline en passant par la splendeur -bref le plus beau- jusqu’au sarcasme. (métro, tristesse, pauvreté, verrue urbaine dystopique autour, nombrilisme). J’adore "monter" à Paris, j’adore en partir.)
https://www.youtube.com/watch?v=oSklG3_oKs8
(Et puis un nom qui se répète, je trouve ça colle bien à la façon dont on aime la rose : au point d’être un peu neuneu, et de faire rimer rose et névrose. On plonge son nez, et on veut toute de suite répéter l’expérience, jusqu’à l’intoxication. J’aime le côté idiot des pyramides olfactives qui mette "rose" plusieurs fois, et à tous les étages.)
https://www.youtube.com/watch?v=WWIhGKJR0bw&t=15s
Pour aller dans votre sens, je rigole un peu en songeant à ce nom. Car Paris - Paris, c’est le ticket de train d’une personne qui ne quitte jamais Paris. C’est-à-dire une sorte de monstre, selon la définition d’un épisode de "Sex and the city". Dans cet épisode, tous les jolis garçons encore libres à Manhattan étaient théorisés comme ayant une tare cachée. Pour l’un d’entre eux, c’était de ne pas avoir quitter Manhattan depuis 20 ans. Il pensait qu’on y trouvait tout, et en mieux, donc pas la peine de quitter l’île une seule seconde.
Le plus important étant le contenu, j’ai hâte d’aller le sentir.