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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 12 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 19 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
... un vrai nez inexpert, donc !
Pour ma part, j’ai toujours été très sensible aux odeurs, de manière presque douloureuse, mais finalement c’est seulement en accord avec une hyperesthésie globale. (Eh oui, docteur, c’est assez grave...)
Des odeurs aux parfums, des parfums aux odeurs : comme nombre d’entre vous, les parfums de ma mère : Nombre noir, Poison, Nahéma, ce dernier étant mon préféré, même si j’avais tout de suite perçu le potentiel d’attraction/répulsion du premier, et celui d’enivrement du second.
Et puis, dernière étape : quand j’étais jeune fille, il y avait une enseigne qui avait brièvement classé les parfums pas catégorie. J’ai alors considéré comme une révélation la parenté entre Dolce Vita et Féminité du Bois. Ce dernier parfum m’ayant ouvert les portes à notre passion commune : un beau parfum, ce n’est pas forcément une bonne odeur. Ou ce n’est pas que cela. Je n’ai d’ailleurs jamais porté Féminité du Bois. Peut-être cela aurait-il été lui donner un aspect trop trivial.