Chapitre 2 - Le nez dans les essais : Isabelle Doyen compose Nuit de bakélite
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 15 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 22 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bonsoir Passacaille,
Effectivement, la question de l’endroit/envers est cruciale ici. Mais il s’agit simplement d’une question de but (pas limité à la parfumerie, d’ailleurs) : crée-t-on un produit pour répondre à ce qu’un marché demande, ou crée-t-on une demande pour un produit unique, une création ?
Dans bien des cas, un simple produit répondant à la demande suffisant. Mais la parfumerie va plus loin : quand on voit le nombre de personnes qui s’attachent à un parfum pour le porter pendant des dizaines d’années, voire une vie entière, il est clair que le marché gagnerait à s’appauvrir en pâles copies, pour laisser la place à de plus nombreux parfums signés et signatures. L’édition limitée et éphémère ne devrait alors qu’être une exception et un propos artistique, chaque nouveau jus un nouveau terrain de recherche et d’expression, parlant à un public toujours renouvelé.