Le parfum fait son cinéma
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 4 heures
Et justement... Je ne sais pas ce qu’elle est devenue. J’aurais voulu l’essayer bien(…)
il y a 8 heures
Bonjour DOMfromBE, Je me demandais justement ce que valait l’Eau d’Hermès actuelle. L’avez-vous(…)
hier
Je n’ai pas encore eu l’occasion de me faire une impression des créations Oriza Legrand, même si(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Dans Un éléphant, ça trompe énormément, d’Yves Robert, la mystérieuse et laconique Simone (Duperey), complimente son soupirant Etienne (Rochefort) sur son parfum et lui demande ce que c’est : "Bois de santal", répond-il simplement. Problème : je ne connais pas de parfum de ce nom existant en 76. J’aime à penser qu’en gentilhomme il lui enseigne, plutôt qu’un nom dérisoire, l’accord qui la séduit. C’est parfait pour l’ambiance de cette brève scène feutrée délaissant temporairement la comédie, où, pour la première fois, Etienne n’est pas fébrilement obsédé par sa cour, mais apaisé et confiant ; et, comme par hasard, pour la première fois, Simone le complimente. C’est un tournant dans leur histoire, subtilement révélé pour qu’on ne le remarque pas consciemment. En gros, c’est pas du Spielberg.
Cela m’a aussi rendu très curieux du santal... Et de son pouvoir charmeur.