Sentir et ressentir : voyage (mal) organisé au cœur des odeurs et des arômes, sur France 3
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Non, je vous assure que j’aime beaucoup voire prioritairement ce qui est positivement populaire, et je ne suis pas du genre à ingurgiter des macarons Hermé chez moi, pratique quasi-décadente, hormis lors de circonstances spécifiques (pots de départ, anniversaires ou autres joyeusetés).
Par ailleurs, certains parfums – tel La vie n’est pas belle de Lancôme, puis plus encore toutes les pseudo-copies élaborées par d’autres marques par la suite – associent en effet souvent plusieurs grands nez de la parfumerie (sic). Il n’empêche que quantité de ces jus ne sont pas issus d’un acte de création – au sens de la citation de Roudnitska citée par je-ne-sais-plus-qui dans le documentaire. Au contraire, ces produits sont élaborés, standardisés, ajustés, évalués, calibrés aux goûts présupposés, orientés, simplifiés, caricaturés, voire réifiés de(s) (certaines) masses. Vous ne semblez pas en mesure de comprendre véritablement le sens et la portée de cette citation de Roudnitska, ni-même de la relier au reste du gloubi-boulga informe du documentaire, et encore moins à la réalité de la parfumerie, bien sûr.
Ce qui me dérange donc, in fine, absolument et uniquement, c’est bien la nullité sans relief et sans regard critique de ce documentaire-bisounours. Ce dernier ne peut en aucun cas éduquer convenablement le peuple, y compris celui situé dans les HLM de banlieue. Pour ces personnes d’ailleurs, et pour les plus modestes d’entre elles en particulier, il agirait au mieux comme une sorte de prothèse boboïfiante destinée à les faire échapper de leur morne quotidien, lors d’un moment d’assoupissement généralisé des membres.