Speakeasy
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Céline Perdriel nous parle d’une composition de Christopher Sheldrake, entre souvenirs d’enfance et passages interdits.
il y a 2 heures
Il fête ses 20 ans aujourd’hui et sa version actuelle (edp), même si rangée au sein de la(…)
il y a 17 heures
Chez Fragonard il y aussi l’Eau des aventuriers un délice de Daniela Andrier, qui est faite pour(…)
il y a 17 heures
je suis allé récemment tester Cuir de Russie en Parfum, au Printemps Paris. Très joli au départ,(…)
O tempora, o flores
Bubble gum cuiré
Open Nose
Je déplore sincèrement la disparition de 1697, parfum singulier, bien " enraciné " comme vous le soulignez si justement, dans l’univers riche et complexe d’un alcool authentiquement français, le cognac. Je possède le flacon d’origine en verre brun foncé, avec les quatre chiffres magiques encadrés par de jolis guillemets. Ceux-ci ont disparu avec le temps, comme la pastille de laiton en forme de large anneau qui ornait les bouchons de bois de toute la collection. J’ai d’abord découvert 1697 dans sa version dite " absolu " qui était d’une force, d’une intensité, d’une profondeur inouïes. Très vite épuisée (ou était-ce le parfum de démonstration ?), cette formulation évolua en eau de parfum que l’on connaît, jus qui du flacon brun passa dans le flacon transparent de tous les Frapin actuels.
À la même époque, la marque proposait des parfums d’intérieur et des bougies remarquables. Celle intitulée Le Bureau diffusait dans ma chambre cèdre, cèdre, encens, ambre et cuir, tout ce que j’aime ! Un bonheur embaumant lui aussi disparu...