Iris cendré
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 27 minutes
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 33 minutes
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
il y a 16 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Mille mercis, Olivier R. P. David, pour cette critique aussi subtile que parfaite de mon Naomi Goodsir préféré, que je vois enfin évalué sur Auparfum, et bravo pour l’évocation panoramique de cette fleur qui a suscité tant de chefs-d’œuvre. L’Heure Exquise, Bois d’Iris de The Different Company, Iris Bleu Gris et quelques autres compléteraient sans peine à mes yeux la liste que vous avez dressée amoureusement. Pour ma part, c’est par le bel Hiris d’Hermès que je suis entré dans cette noble et singulière " famille ". Si la violette et surtout l’œillet peuvent semblent désuets à de jeunes narines, qui aujourd’hui résisterait à la magie d’un nuage délicatement irisé ? L’Iris Cendré ose lui un incroyable décalage d’avec les iris traditionnels cités plus haut. Tantôt rude, tantôt enjôleur, il vous isole dans un nuage compact et addictif. Sublime suffocation contemporaine qui me rappelle celle qu’avait déclenchée chez moi, avec d’autres matières et d’autres couleurs, l’étonnant Cuir Velours du même Julien Rasquinet (parfum dont le Daim Blond actuel semble aujourd’hui une mauvaise et synthétique copie). Et vive l’iris !