Rochas se laisse (re)pousser la Moustache
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
hier
Avis aux amatrices et aux amateurs d’Anatole Lebreton : il reste encore quelques rares flacons(…)
il y a 2 jours
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il y a 3 jours
Bonsoir Farnesiano, Bonsoir à tous, Vous faîtes référence à la pomme de Nina Ricci. Celle-ci est(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Cher Jean David,
Ironie, peut-être mais surtout colère et chagrin de voir totalement disparaître trop de chefs d’oeuvre de maisons dont l’ADN a désormais disparu avec le lancement de parfums gnangnans destinés à une clientèle quasiment adolescente souvent dépourvue de culture olfactive (pour ne pas dire de culture tout court mais je m’égare...) et qui ne risque pas d’en acquérir grâce aux grandes marques jadis de luxe. Des maisons au passé prestigieux réutilisent tel quel le discours des œuvres qui ont fait leur renommée pour le plaquer à peine modifié sur des sentorettes indignes, qui n’ont du luxe que le prix. Quand je vois les flacons grotesques que la maison Ricci a pu sortir pour ses trois jus Riri, Fifi et Loulou - pardon : Bella, Nina, Luna (à quand 3615 Lulla ?) - je ne peux réprimer ma colère et avoir honte pour l’absence totale de goût et l’audace sans limite (vous savez ce qu’on dit de ceux qui osent tout) de la direction (qui n’a rien d’artistique) de maisons telles que Givenchy, Ricci, Saint-Laurent ... j’ai honte pour l’affront fait à Hubert, Robert, Yves sans oublier Christian. Et j’enrage pour les orphelins que nous sommes devenus.