L’Interdit
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 23 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
hier
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
hier
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bonjour Adina,
Oui, c’est étrange cette manie de dénaturer un parfum historique en n’en gardant que le nom (et parfois le flacon, etc.). Je n’y vois qu’une stratégie : conquérir une clientèle jeune, les "Millenials" qui a priori n’a pas connu "L’Original". (Miss Dior, Eau de Givenchy, etc.). Cette génération est au cœur des argumentaires de vente car elle représentera d’ici quelques années un pourcentage assez substantiel de la clientèle luxe. Exit donc les quadras, quinquas et autres baby boomers qui ont eu la chance, le privilège de connaître ces nectars d’anthologie. C’est se mettre à dos de nombreux clients fidèles à L’Interdit d’avant. C’est aussi sous-estimer la part de Millenials qui dans le lot a reçu une éducation olfactive et connaît bel et bien la version originale du parfum. Dommage. Et étrange, donc.
Personnellement, je n’en suis pas affectée outre mesure car je n’ai pas le souvenir d’avoir senti L’Interdit d’origine, donc je n’ai pas ce sentiment d’usurpation. Mais je vous comprends et je suis d’accord, la démarche est étrange.
En revanche, je ne trouve pas du tout que Rooney Mara ressemble à Audrey Hepburn. Je trouve la première sombre, rock, très cinéma allemand des années 1920 (!) là où la muse de Monsieur de Givenchy m’évoque plutôt l’impertinence, l’audace et la joie pétillante. Enfin, ce sont les images qu’elles me renvoient.
Quant au parallèle avec Poison et Angel enfin, je faisais plus allusion à la puissance de la fragrance, à son omniprésence dans les transports, et à sa dimension "clivante". Personnellement, Angel ne m’a jamais gênée, tout est dans l’art de le porter. J’ai même eu d’agréables surprises avec le Lancôme tant décrié.
A suivre !
Belle fin de journée.