Au cœur de L’Heure perdue : musc cétone, héliotropine... et deux absents !
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je ne peux que m’associer aux autres pour chanter les louanges de ce dossier !
J’ai d’ailleurs une curiosité particulière au sujet du musc cétone : j’adore le fond des deux parfums que vous avez cités (même si La Panthère n’est pas un de mes parfums cultes, mais c’est un autre sujet...), et je serais curieuse de savoir si c’est finalement ce musc qui va me pousser à porter particulièrement certains parfums qui ont en commun ce fond à la fois confortable et enivrant : Shalimar, Coromandel eau de toilette, Ombre fauve, Ambre Narghilé ... (Même si bien sûr c’est la qualité extraordinaire de l’ensemble qui me séduit et m’emporte, je ne réduirais jamais naturellement un parfum à un de ces composants.)