Mathilde Laurent : « Avec l’Heure perdue, je voulais créer un parfum chimique avec une impression de parfum du XIXe siècle »
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 9 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 16 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Cette interview a aiguisé ma curiosité... je vais donc profiter de mon séjour parisien la semaine prochaine pour aller sentir cette Heure, et re-sentir les autres Heures de Cartier !
Et tout à fait d’accord avec Aberystwyth, ne pas chercher à décrypter de suite les composants, se détacher de ce que l’on sait déjà (trop ?) sur le parfum pour ne prendre en considération que les émotions qu’il procure (ou pas !)... c’est un peu comme regarder un film sans trop avoir lu les critiques presse / spectateurs avant ...