Nuit et confidences
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 2 jours
Est-ce que le muguet a été reformulé ? Je l’ai testé ce week-end, absolument aucune tenue, au niveau(…)
il y a 3 jours
Bonjour Mes regrets Ivoire de Balmain a disparu durant une dizaine d ’années, puis je l’ai(…)
il y a 3 jours
Il est magnifique ce parfum. Un patchouli boisé, terreux qui ne devient pas sucré ou gourmand.(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bonjour Bluebell. Eh oui, notre marque chérie va à vau-l’eau, depuis des années et suit une bien bien mauvaise pente... Des disparitions, toutes les marques ont cette pratique, on le déplore, mais c’est partout, et depuis toujours, la loi de l’industrie. A mes yeux, le plus révoltant, c’est le remplacement de chefs-d’œuvre ( le superbe Vétiver de 1985 avec sa note qui hésitait entre un aspect ozonique et un côté cuir/selle de cheval/crottin, L’Eau du Fier, vrai précurseur, le Néroli original) ou de petits bijoux (Le Mimosa par ex.) par des créations sans grand intérêt (Ambre Sauvage, Vanille Charnelle) voire carrément insipides (Rose pompon). La suppression annoncée de Mandragore me chagrine. Ce matin encore, suite à la lecture de votre post, j’ai sorti mes miniatures Mandragore et Mandragore Pourpre. Les deux parfums sont beaux, vraiment. La version Pourpre a sur moi curieusement moins de tenue mais elle me séduit par son géranium en majesté qui détrône ainsi l’anis ! Amateurs de géranium, foncez donc sur les Pourpres restant ;-) La version Mandragore est une merveille d’invention, qui ne ressemble à rien d’autre...
Quant à l’identité visuelle, je redoute le pire. Quand je considère la tristesse que dégage pour moi le nouveau packaging de L’Artisan Parfumeur aux caractères minuscules et aux flacons noirs ou tellement sombres dont l’image correspond si peu à des titres tels que la Chasse aux Papillons, L’Eté en douce, Séville à l’Aube... y a de quoi se morfondre, n’est-ce pas ? Et de s’inquiéter !