Cool Water
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
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Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Je pense que le principal reproche que l’on puisse faire à Cool Water, c’est un manque de subtilité dans l’évolution. Après quelques heures, les notes de fonds mentholées-ozoniques (ambrées ???) semblent effacer ou brouiller tout détail provenant des autres notes. Je me rappelle que la première fois que je l’ai senti, à sa sortie en 1988, j’ai eu froid dans le dos en me disant que c’était très différent de tout le reste et que je n’aimais pas ça. J’ai eu exactement le même pressentiment en sentant New West d’Aramis la même année. Le futur a confirmé ce pressentiment, le parfum masculin n’a fait que décliner depuis lors, au point qu’en comparaison avec ce qu’on fait actuellement, Cool Water, rétrospectivement, sent encore plutôt bon. En le testant au bouchon, il y a quelques jours je me suis demandé ce qui justifiait mon aversion. C’est qu’en 30 ans, le déclin a continué et que maintenant nous avons Bleu de Chanel et Sauvage, en comparaison desquels Cool Water est une merveille de fraîcheur et de subtilité.
Le précurseur du déclin est peut-être Creed dont le Green Irish Tweed de 1985 est en général considéré comme l’inspiration de Cool Water. Dans les deux cas la recette est apparemment un surdosage de dihydro-myrcénol par rapport à tout ce qui s’était fait jusque-là (en tout cas selon le blogger From Pyrgos).