Un parfum rouge sang et vert d’eau
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Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Dans ce nouveau témoignage, Karine Chevallier se souvient de l’histoire qui la lie au Vétiver de Carven, comme une leçon de parfumerie.
il y a 2 heures
J’adore, mais c’est bien trop cher. Alors j’ai découvert une petite alternative que je préfère même(…)
il y a 10 heures
Contrairement à l’auteure de ce billet j’imagine mal que ça puisse être un lancement grand public(…)
hier
Un dandy au jardin par une fin d’après-midi ensoleillée, sous la tonnelle, devant une corbeille de(…)
Éclat d’ambrette
Charmeur de serpents
Savonette nacrée
Bonjour Fille d’Avril,
N’en ayant jamais senti, j’aurais du mal à vous donner mon avis, mais au moins votre intervention conforte mon budget ! Si je finis par en sentir quelques uns, je vous donnerai mon point de vue... Je n’aime pas tellement les parfums lourds, mais qu’ils soient opulents ne me dérangent pas, je suis une personne discrète mais si mon parfum peut m’éviter de me faire bousculer dans la rue, c’est un plus ! (Parfois je me sens un peu comme Grenouille dans le roman de Suskind, invisible car sans odeur, surtout en hiver car mon sang n’active pas les parfums...)