Nina Ricci met la lumière sur l’Air du temps
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 4 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
il y a 6 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 6 heures
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bon alors là, comment le dire ?
Tout fomme avec Byredo et ses trois parfums mode équestres, on atteint bien là le sommet du ridicule en termes de prix.
Alors oui, l’argumentaire sera : ce sont de belles matières, tout ça, mais bon, quand je vois que ces trois parfums ci-dessus sont formulés par Candice Becker qui a massacré Vent vert et commis le vulgaire Lola, ça me laisse perplexe...
Voilà, c’est triste parce que le parfum n’a pas toujours été ce luxe hors d’atteinte boosté à coup de marketing, avec des jus si tôt créés, si tôt oubliés. Triste aussi parce que des marques qui essayent de garder un équilibre entre qualité et prix abordables n’ont finalement que peu d’espace de visibilité, à l’instar de Parfum d’Empire. Triste enfin parce qu’après, on se demandera pourquoi les fans de parfums vont déserter les lieux physiques, de niche ou pas, pour se rabattre sur les prix cassés d’Internet et les sites de vente off-shore.
C’est finalement tout un imaginaire qu’on tue ici et on se prend bizarrement à regretter parfois le temps où le terme "parfumista" n’existait pas encore et où l’on pouvait vivre sa passion honteuse cachée. ;-)