Kenzo World
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
hier
Avis aux amatrices et aux amateurs d’Anatole Lebreton : il reste encore quelques rares flacons(…)
il y a 2 jours
Bonjour Adina, bonjour à tous, Oups ! Pardon pour la confusion. Une vingtaine d’années séparent(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Farnesiano, Bonsoir à tous, Vous faîtes référence à la pomme de Nina Ricci. Celle-ci est(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
C’est assez drôle, je le reconnais, car dans ma folle jeunesse, j’étais farouchement opposé à l’idée même de nationalisation. Mais quand il s’agit de patrimoine, j’en viens à la conclusion que l’intérêt général l’emporte sur les intérêts - et donc les égoïsmes - particuliers. Il y a bien des musées nationaux, des orchestres publics, des opéras publics, une Comédie française (établissement public)... Si un gouvernement entendait privatiser ces institutions, pour aller dans le "sens de l’histoire", il se heurterait - espérons-le - à une forte opposition populaire, parce qu’il s’agit d’art, et plus précisément du patrimoine, bien commun de la société. Si l’on soutient que le parfum est un art, que les grands parfums français constituent une part de notre patrimoine artistique, il paraît difficile d’abandonner ce domaine au marché, dont les ambitions sont naturellement autres que culturelles. Loin de moi l’idée de supprimer le secteur privé de la parfumerie : si des personnes, désireuses de faire des affaires, souhaitent créer de nouvelles enseignes et lancer incessamment d’interchangeables produits, libre à elles.
Cette nationalisation de quatre ou cinq maisons, ou du secteur parfumerie de celles-ci, aurait aussi valeur d’avertissement pour d’autres, dont la politique est plus ambivalente.