Nivea, la petite boîte bleue mise en flacon
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 2 jours
Est-ce que le muguet a été reformulé ? Je l’ai testé ce week-end, absolument aucune tenue, au niveau(…)
il y a 2 jours
Bonjour Mes regrets Ivoire de Balmain a disparu durant une dizaine d ’années, puis je l’ai(…)
il y a 3 jours
Il est magnifique ce parfum. Un patchouli boisé, terreux qui ne devient pas sucré ou gourmand.(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Quelle riche oeuvre civilisatrice devez-vous accomplir dans cet environnement propice ! Je ne connais pas le système belge mais j’applaudis à l’idée d’un enseignement des sciences en école d’art. Depuis Léonard de Vinci, ça avait tendance à se perdre !
Des lycéens avec de la crème dans leur sac... C’est seulement à l’université que j’ai commencé à garder un tube de crème (souvent miniature) pour mes mains en hiver. Et je ne crois pas que beaucoup d’étudiants aient fait de même. Je suis très étonnée que les lycéens de chez vous soient si prévoyants mais peut-être est-ce simplement dû à la différence de température. Peut-être que le climat est chez vous si rude que les élèves en sont réduits à transporter de la crème pour ne pas avoir de gerçures, ce qui rendrait ce stock de Nivéa et de beurre de karité explicable.
Votre tableau sur les années 70 est très parlant ; personnellement, je ne suis née qu’au milieu des années 80, ce qui me donne d’autres souvenirs. Je vois malgré tout très bien ce que vous évoquez. C’est caractéristique de ce que je percevais comme des intérieurs démodés quand j’étais très jeune. cette atmosphère brun-beige enfumée des seventies à la française, avec ces meubles au design improbable façon soucoupe volante des débuts de la science fiction, ces matières synthétiques étranges, ces stores verticaux en sorte de bure de plastique, ces papiers peints aux motifs géométriques... c’est très compliqué à décrire, ces temps à la fois proches et lointains. Pour moi, qui n’en ai connu que les rémanents, je dirais que c’est Le crabe tambour de Pierre Schoendoerffer qui me replonge le mieux dans cette atmosphère "jeunesse de papa-maman".