ANBAR : l’histoire de l’ambre gris racontée en peintures et en parfums
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 6 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
il y a 8 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 8 heures
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Passé aujourd’hui à l’exposition.
J’avais découvert l’ambre gris avec le n°18, Chanel me semblait lui avoir donné un caractère bourgeois, net et propre, que je trouvais en somme un peu ennuyeux ...
Vous avez donné à l’ambre gris une singularité très étonnante, ce qui transforme les matières "usuelles" avec lesquelles vous travaillez en ovnis étranges, inhabituels et presque inquietant.
Dans Aphrodisiaque, la tubéreuse qu’on connait oppulente et quasi sexuelle se transforme en souffle mystique, rond et poussiéreux en même temps. Dans Cocktail, la boisson des soirées étudiantes ou ploucs devient noble et dramatique. Le cacao n’est plus gourmand et/ou cul-cul-la-praline mais conquérant, grave et rentre-dedans.
Ce travail de mutation des sensations se double d’une sorte de progression du parfum le plus archaïque au parfum le plus contemporain et sophistiqué.
c’est beau, direct et immédiat.
Bravo !
anthony