Ostara de Penhaligon’s, parfum d’optimisme printanier
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
hier
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
hier
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
hier
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Alors là j’avoue que j’ai un doute : je pensais qu’on ne pouvait rien obtenir de la jonquille comme matière première exploitable en parfumerie, il s’avère qu’en fait si.. Mais ce serait comme pour le narcisse ? C’est le bulbe qu’on peut utiliser, avec une odeur riche foin/animal, très différente de l’odeur de la fleur ?
Penhaligon’s revendique l’odeur de la fleur, il me semble, donc du coup ce serait logique qu’elle n’apparaisse pas dans la compo et qu’elle soit reconstituée par d’autres éléments. Je vois assez bien l’idée de faire intervenir les "notes évoquant les feuilles" et la jacinthe pour l’avalanche de notes vertes qu’impose un bouquet de jonquille dans une pièce, les aldéhydes pour l’astringence typique de la jonquille, et le lot "narcisse/cire d’abeille/ylang ylang ylang/vanille" pour l’impression jaune et le côté animal/doucereux.