Impressionnisme et mélancolie
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 9 heures
Et justement... Je ne sais pas ce qu’elle est devenue. J’aurais voulu l’essayer bien(…)
il y a 14 heures
Bonjour DOMfromBE, Je me demandais justement ce que valait l’Eau d’Hermès actuelle. L’avez-vous(…)
hier
Je n’ai pas encore eu l’occasion de me faire une impression des créations Oriza Legrand, même si(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bonsoir,
Pour faire suite à vos aimables conseils, je viens vous livrer le maigre produit d’une journée de recherche autour des parfums suivants. Mes impressions sont très personnelles et livrées à chaud, et ne sauraient refléter les qualités intrinsèques de chaque produit.
Infusion d’Homme :
Du concentré de propre ! Léger discret, fragile comme une goute de rosée, un dégradé de blancs translucides, avec une identité très proche du savon à la papa, celui qui effleure une serviette douillette beige reposant sur une vasque en émaille ancienne. Sa tenue est à l’image de la photo rétro délavée : littéralement effacée après l’exposition. Les défauts de ses qualités en quelque sorte. Je l’imagine plus dans un salon de barbier que sur moi.
Je lui trouve des airs de famille avec Eau d’Arômes de Giorgio Armani.
Dior Homme :
La sensation est très minérale et terreuse sur la peau, un peu cuirée et piquante aussi.
Un silex noir émergeant d’une tourbe humide au bout d’une heure. Beaucoup plus florale et aérienne sur mouillette. Je n’arrive pas à me soustraire d’une image seventies, le concernant.
Dior Homme Intense :
N’est pas forcément la version + du précédent. Son identité est autre, Paradoxalement le plus féminin des deux pour moi, peut-être à cause de sa fragrance gourmande un brin écœurante ; je lui trouve un petit air de pâtisserie glucidique sortant du four.
Vol de Nuit (sous la reco de Jicky, pour la culture olfactive) :
Réponse du vendeur : "Pas certain que nous disposions de ce vieux parfum". Finalement si, dans le fond du tiroir du bas. Un voyage dans le sillage de ma grand-mère née dans les années 20. L’archétype du parfum ancien à fourrures. Bref, l’odeur d’une Dame élégante d’une autre époque, profond mais trop connoté pour moi, il m’est quasiment inconcevable de le porter.
J’envisage de me rendre demain chez Serge Lutens pour découvrir les parfums que vous m’avez recommandé, soit : Laine de Verre, Iris Silver Mist, L’Orpheline, Gris Clair, Chêne, Clair de Musc.