La Panthère
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 5 heures
Bonjour Christine, J’ai moi-même porté à une certaine époque des anciens classiques de chez Nina(…)
il y a 13 heures
J’ajouterais à la liste des parfums précédemment cités : Chant d’arômes de Guerlain, au charme tendre(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Bigre, une panthère, c’est pas facile à apprivoiser...
"- Que faut-il faire ? dit le petit prince.
Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près..."
(Le Petit Prince chap 21)
Je ne connais pas bien les parfums des années 80, parce qu’à l’époque, j’était une petite fille (dont la première miniature a cependant été "Diva", étoiles dans les yeux, toussa toussa), mais d’une façon générale, tout ce qui monte plus haut que mon duo Giacobetti/Helena m’agresse un peu les narines... Autant dire que la Panthère, c’était un peu too much pour moi. Une note que je qualifierais de "vernis à ongles", sur touche et sur ma peau, a tendance à me faire crisper le nez au démarrage. Puis, beaucoup de fleurs assez abstraites, mais pas vraiment une abstraction qui me raconte une histoire, comme ça peut être le cas chez IUNX par exemple. Je n’ai pas encore le nez assez éduqué pour reconnaitre le musc, je crois (ou bien je suis anosmique !).
Ceci dit, depuis que je la décante (j’ai commencé hier), je lui trouve une certaine finesse malgré son côté rentre-dedans (je parle du niveau olfactif). Peut-être en effet qu’il faudrait que je la mette sur un mouchoir, pour la laisser s’approcher tranquillement.