Bruxelles n’aime pas le parfum
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 18 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
il y a 20 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 21 heures
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Et encore, sur l’aspartame, au moins, il y a des études indépendantes ! Le consensus scientifique actuel (pas celui des fabricants) consiste à ne pas dépasser un certain dosage en mg par kilo de poids (aucun effet clinique mesurable) ; mais il est vrai que des études cancérologiques sur longue période font encore défaut, à ce jour (soupçons sur le cancer du cerveau, en particulier).
Hélas, je ne pense pas que l’aspartame ou les molécules de synthèse soient des cas aussi distincts que cela ! Derrière tout cela, il y a toujours des intérêts privés très puissants, dont on ne prend conscience souvent que tardivement... restent à identifier lesquels !
Surtout, en quoi les problèmes d’allergie cutanée (qu’on peut aisément limiter ou éliminer en n’utilisant pas le produit, ou en inscrivant tous les allergènes potentiels sur l’étui - il suffirait d’une directive, d’un texte) seraient plus intéressants, plus urgents à régler par Bruxelles que l’aspartame (que tout le monde ingurgite plus ou moins) ou les OGM (impossibles à tracer efficacement) ? À part Marylin Monroe, combien de personnes sont mortes en s’imbibant de Chanel n° 5 ? Personne ne sait.
Surtout, une molécule de synthèse (souvent brevetée, et donc privée, durant des dizaines d’années), appartient à un fabriquant. Le parfumeur ne pourra plus s’il le souhaite acheter son essence de rose à qui il veut sur la planète ; il faudra s’approvisionner auprès du fabricant et c’est tout. Bonjour la "diversité olfactive" à venir ! Et enfin, hormis le fabricant dans un cas sur dix au plus, personne ne saura réellement si la molécule de synthèse sera ou non plus "dangereuse" que l’originelle issue de la nature : un comble !