Joy Forever
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Voilà une création dont les idées sont comme ses notes fruitées : vives, fusantes, presque vrillantes !
il y a 2 heures
Bonjour Christine, De belles propositions, dont le trop peu vanté One Love de Scherrer, vous(…)
il y a 5 heures
Merci Adina pour vos précieux conseils...et vos "pistes "intéressantes ! J’apprécie beaucoup(…)
il y a 5 heures
Merci beaucoup Blanche pour votre réponse si pertinente et réaliste !!!Vous avez tout à fait(…)
Sous le soleil de Toscane
Roche en fusion
Fleur au zénith
Salut, Newyorker ! Tellement accaparé ces derniers temps par mille et une choses, je me fais plus rare sur AP et réponds très tardivement à ta belle évocation des jardins de ville (et surtout pas pour moi " Un jardin sur le toit " que je ne comprends pas/comprendrai jamais ?) et des grands déserts arides où il n’y a rien que le sol et le ciel, et notre minuscule silhouette reliant les deux dans l’air pur, primordial, et à travers la lumière originelle... De paysages désertiques, je ne connais que certains plateaux alpins, une certaine région espagnole au-delà des Pyrénées et le petit désert de dunes qui sépare la côte belge de la côte française, lieu familier mais hélas fortement rogné depuis la fin de mon enfance, par de scandaleux ravages immobiliers. Les dunes toujours me fascineront, surtout sous un haut soleil d’été. Et le sable, et les argousiers, et les insectes, et les rares oiseaux sortis de bosquets épineux, effrayés par mon passage. Rien à voir avec l’odeur puissante et ennivrante du maquis corse par exemple mais de magnifiques senteurs s’en dégagent tout de même. Il faudrait faire un article sur les parfums évoquant les paysages désertiques, ou originels, qu’ils soient ou non orientaux, mais sans la présence des hommes. Le récent Sahara Noir de Tom Ford, tant décrié par certains, y parvient à sa manière. Là, je profite d’une jacinthe d’un bleu sombre, presque violet, qui embaume mon bureau, pendant que mon regard s’oriente vers la fenêtre devant laquelle s’épanouit un camélia dont le beau rouge mat intrigue. Mais là, point de parfum, ou alors, il faut plonger son nez au coeur de la fleur... et découvrir une senteur un peu mince mais d’une rare délicatesse.