Effluves influentes
par Absinthe, le 12 février 2011
J’ai reçu et testé MKK ; inutile de dire qu’après toutes les horreurs que j’avais pu lire sur lui (crotte de bique, bouc crevé et autre ménagerie du cirque Pinder), j’ai ouvert mon petit décant façon déminage, et l’ai humé d’un nez circonspect. Je n’ai pas reçu la châtaigne que je craignais, je l’ai donc appliqué sur peau, d’abord avec la pipette, mais comme j’avais du mal à croire ce que je sentais là, j’ai appliqué le flacon à même le poignet ; après 20 minutes de humage compulsif et de réflexion pas franchement impartiale... je l’ai acheté. Voilà.
MKK illustre parfaitement cette image de Zola que je citais je ne sais plus où sur le blog : "une bête en folie tombée dans la boite à poudre d’une fille". Même si, en ce qui me concerne, j’ai plus eu droit à une panthère de salon, dont la fourrure serait imprégnée des senteurs gourmandes et raffinées du canapé sur lequel elle adore se prélasser, mais qui garde son animalité juste en dessous, à fleur de peau. Parce que MKK est pour moi LE parfum de peau par excellence, mais une peau amoureuse, échauffée et lascive, tant qu’à faire aimons-nous vivants scrogneugneu !
Enfin bref, tout ça pour dire : Amalia, quel dommage ! Mais qui sait, peut-être en le réessayant dans quelques temps vous aurez une bonne surprise, je l’espère en tout cas parce que quand il se révèle, il est tout simplement somptueux (quoique, Musc Ravageur est pas mal terrible aussi dans son genre ^^).
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