Manoumalia
par parenthèse, le 9 mai 2015
Troisième essai de Manoumalia, sur les avant-bras.
C’est d’abord une fleur tropicale épanouie, verte et humide, à peine grasse. Elle s’élève dans l’atmosphère, en halo, puis elle s’adoucit, perdant son mordant qui s’arrondit en notes plus ambrées vanillées avec une petite touche de camphre médicinal en sourdine.
À ce stade, le parfum s’allonge en nappe horizontale.
Quelques heures plus tard, il ne reste que quelque chose de très discret, comme un lait parfumé à l’ylang. Il n’a pas ce fond boisé-vanillé qui s’incruste, il garde son côté floral et tige croquante, mais réduit à quelques évocations.
Autre fait surprenant, en toute fin d’évolution, il semble rayonner par émanations autour du lieu de pulvérisation, mais m’échappe aussitôt que j’y colle le nez.
Superbe.
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