Auparfum

Coco

Opium

par Opium, le 4 avril 2013

Bonsoir Coco. Bienvenue sur auparfum.

 

Une précision pour débuter à propos de votre intervention sur la forme. "Baroccoco" n’est pas un pseudonyme, mais le sous-titre attribué à ce texte.
Son auteure est "Jeanne", comme précisé plus haut, la co-fondatrice de ce superbe espace et rédactrice en chef que vous aurez, ou avez déjà peut-être eu, l’occasion de lire ici.

 

Ensuite, sur le fond, dés lors qu’un parfum est choisi, surtout s’il s’agi d’un "préféré", d’un "chouchou", voire du "seul, l’unique", on a l’impression d’être à côté si la lecture d’une "critique" ne nous correspond pas. Ou, plutôt, que l’article écrit est à côté.
Sur auparfum, on conseillera des parfums masculins aux dames, des poudrés, des floraux et des ambrés lascifs aux messieurs. Ici, la seule règle est de se faire plaisir... et de tenter, peut-être, de ne pas avoir trop mauvais goût. ;-)
Lorsque l’on rédige une critique de parfums, s’agissant d’objets pour partie immatériels et abstraits, il faut tenter d’injecter sang, chair et os à la description pour la rendre plus vivante. Ainsi, certains orientaux très fortement vanillés pourront être qualifiés de "lascifs" (voire de "vulgaires", ce qui n’est pas toujours un mal ^^), certains verts le seront de "raides" ou "distants". Il s’agit de tenter d’activer des images mentales partagées pour se faire comprendre par le plus grand nombre. Au risque d’en perdre certain(e)s dans la description.
C’est ainsi que fonctionne la publicité et le marketing.
Shalimar évoque une princesse des mille et une nuits, c’est l’une des dix meilleures ventes en France, pourtant, je ne vois/sens pas des Schéhérazades à tous les carrefours. De même, malgré la présence des "sports" et "bois-qui-piquent" testostéronés, tout le monde ne me semble pas bodybuildé dans la rue ! #dommage
Coco a, pour moi également, indéniablement, une aura sombre, obscure, mystérieuse, rococo et baroque, tout ce que n’incarnait pas l’éternelle jeune fille entre châtain et blond qu’est la jolie et fine Vanessa Paradis. Une Inès de la Fressange me semblerait à moi, et c’est tout personnel, mieux convenir physiquement, aujourd’hui encore, pour l’incarner.
Mais, le sentir sur l’amie d’un ami en soirée, qui avait tout juste 25 ans, il y a quelques mois, était un pur bonheur.
Je porte Coco. Newyorker aussi (et sans "cocotter", en épiçant et assourdissant les notes les plus fruitées). Que chacun(e) fasse ce qui lui plaît, en ton sur ton ou à contre-emploi, comme cela chante à chacun(e) !
Il y a suffisamment d’horreurs en termes de parfums pour ne pas se priver des bons sous je ne sais quel prétexte moral et/ou pudibond.

 

Bon usage futur de "votre" Coco encore durant des années.
Peut-être à bientôt ici.
Opium

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