Dzongkha
par Jeanne Doré, le 28 janvier 2016
Bonjour Neovand, bienvenue (avec quelques jours de retard !)
Timbuktu est en effet un grand absent d’Auparfum, j’espère pouvoir m’y pencher prochainement, un jour... enfin, quand j’aurai le temps...
Peut-être cette impression rafraîchissante est-elle liée à la note épicée des baies roses en tête ? A moins qu’elle ne soit due à la facette fraîche, un peu pamplemousse du vétiver, voire à la note de mangue, qui partage sa note légèrement soufrée ?... Ou encore la minéralité de l’encens ? Ou tout simplement le fait que Timbuktu soit un chypre, que l’on peut aussi parfois tout simplement associer à la propreté fraîche d’un savon classique...
N’hésitez pas à continuer à exprimer vos ressentis et vos impressions, c’est comme cela qu’on apprend !
Bonne soirée
Jeanne
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