Auparfum

Quel parfum portez-vous ?

par Dominique Brunel, le 18 juillet 2014

Petite mise à jour

Apparemment, ma prose a pu vous induire en légère erreur... Beaucoup parmi vous indiquent sous cet article quel parfum ils portent.... mais cet article ne visait initialement qu’à présenter la nouvelle fonctionnalité qui vous permet, sur chaque fiche parfum, d’indiquer que vous le portez. Evidemment, nous n’avons pas tous les parfums en "boutique". Mais pour ceux qui sont critiqués ici, n’hésitez pas à cliquer sur le petit flacon sous le visuel :)

— -

Vous le savez, auparfum ne rêve que d’une chose : chaque jour, vous éblouir un peu plus. Hier nous lancions sur notre site une fonctionnalité d’alerte contenu que des millions de sites nous envient à travers le monde.

Aujourd’hui, nous réalisons ce rêve inouï : il vous est désormais possible de clamer au monde entier ce simple cri du coeur "Je le porte" ! Mais attention, après 24 heures, pffuittt... plus rien... ils vous faut vous re-parfumer !

Vous retrouvez en bas de la fiche, la liste des auparfumistas qui portent/ont porté ce parfum (Onglet : Qui le porte)

Et bien sûr, vous retrouvez sur le profil de tous les membres la liste de leurs parfums portés.

Pour voir, jour par jour, toute l’activité liée à cette nouvelle fonctionnalité, il suffit de se rendre sur la page Parfums Portés, dans le menu Communauté.

Voilà.... à vos sprays !

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 28 août 2022 à 12:09

Acqua di Parma
Essenza di Colonia

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 27 août 2022 à 11:38

Caron
Mon parfum, moi, dans un flacon de parfum Pour Un Homme de Caron
( Eau de Toilete )

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 26 août 2022 à 12:13

Tom Ford
Beau De Jour ( Eau de Parfum )

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 25 août 2022 à 10:51

Les Exclusifs de Chanel
Jersey Eau de Parfum ( échantillons )

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 24 août 2022 à 12:11

Les Exclusifs de Chanel
Bois des Iles ( Eau de Parfum )

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Petrichor

par Petrichor, le 24 août 2022 à 09:28

"Mon parfum chéri" EDP, réédition temporaire pour l’anniversaire des 30 an de la marque.
Superbe surdose d’iris (beurre et absolu ?) (effet crinière, foin et gloss à lèvre -et inflexion de violette, et d’anis-), mâtinée de cétone pêche (à la "Femme" de Rochas).

Le début est désagréable, le patchouli est comme moisi au champignon, et la tonalité "gloss" est sirupeuse intense et écoeurante. Mais comme les bons parfums traditionnels, qu’importe si le début me déplaît, si en contrepartie ça offre une rampe de lancement pour un accord de coeur très beau et unique.

Je n’avais pas eu le déclic pour la version originale, en EDT comme en EDP.

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par Farnesiano, le 24 août 2022 à 13:53

Bonjour Petrichor,
Vous m’intriguez en évoquant la note de cétone pêche. Le côté "prune" que j’adore en parfumerie, même si bon nombre de créations contenant du prunol cèdent à la facilité, cette rondeur justement de prune liquoreuse et tellement automnale que contenait la version originale (que je possède en EdP), aurait-elle disparu de la formulation actuelle ?

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par Petrichor, le 24 août 2022 à 15:51

Bonjour Farnésiano ! Votre question porte sur le Rochas, c’est bien ça ?
Il y a toujours la note de pêche -la cétone pêche- dans "Femme".

Alors, je ne suis pas un professionnel. Néanmoins voilà :

1° La dernière fois que j’ai testé "Femme" -il y a 4 ans-, il penchait plus vers le côté iris. (Il y a un progrès car la reformulation d’Olivier Cresp des années 2008 était très cumin.)
Là, la formulation que j’ai testé est plutôt sur un rendu "parfumerie traditionnelle". D’ailleurs c’était un "fondu" opéré aussi sur "Tocade" et "Madame Rochas". (Tocade était rendu moins tonitruant. Il a toujours été très fort, joyeux, au risque de faire synthétique, alors qu’en fait il est très bien.) Les trois parfums étaient rendu plus classieux, mais moins contrasté. Je ne sais pas qui protège les formules chez Rochas, mais j’étais heureux de l’état actuel de ces parfums, qu’on trouve en mainstream.

2° Je pense que la lactone pêche est là, puisque je n’ai jamais entendu qu’elle était réglementée pour des raisons allergènes.
Elle est nécessaire pour l’accord, et on la trouve aussi dans d’autres parfums, d’ailleurs avec l’iris aussi ("L’iris de Fath" l’a aussi, "Féminité du bois" je crois aussi). L’écueil, à son usage, est, dit-on, une odeur de carton, que j’avais détecté sur certaines versions de "Mitsouko" ou de "Vol de nuit". Donc peut-être qu’il ne faut pas trop en mettre, ou peut-être qu’il faut bien choisir les notes de violettes qu’on met à côté (et je mets les extraits naturels d’iris dans ces notes à inflexion de violette).

Je précisais cette note, car je veux éviter le risque des gens qui s’attendent à une odeur de vraie pêche mûre.
Les habitué.e.s savent bien qu’on parle d’une facette pêche qui rappelle un peu le madère et autres vin cuits, ou un effet sec qui peut évoquer le noyaux de pêche plutôt que la chaire. (D’ailleurs les parfums qui réussissent l’effet photoréaliste "pêche mûre, le fruit" sont assez rares. On tombe vite dans le fruit en conserve dans son sirop. J’avais reçu par hasard un échantillon de "Murmure" de Van Cleef & Arpels, il m’avait surpris, à réussir cet effet "pêche mûre". Dommage que ce parfum soit resté une référence obscure).

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par Farnesiano, le 25 août 2022 à 08:36

Merci, Petrichor, pour toutes ces précisions sur Femme de Rochas - que j’adore - et bravo pour votre approche, toujours subtile et sensible, des parfums que vous aimez "décortiquer". Mais, et j’en suis désolé, dans ma question j’évoquais le côté prune de Mon Parfum chéri (ridiculement baptisé par Camille).
Quant à Madame Rochas, qui fut mon premier choc Rochas féminin et qui figure toujours en tête de mes aldéhydés poudrés favoris, je préciserai que mon ancienne version ne prend aucune ride. Ce parfum, c’est pour toute l’élégance française mise en flacon.
Malheureusement, à part L’Eau, Girl et Mademoiselle, les Rochas sont peu présents sur nos rayons en Belgique, ou impossibles à sentir ("Ah non, on n’a pas les testeurs ; vous savez, ces parfums, c’est pour les vieux habitués qui les connaissent depuis toujours." Soupir...)
PS. J’aime toutes les créations de Guy Robert. Je n’ai hélas jamais pu sentir Doblis.
Connaissez-vous les deux Gold d’Amouage, Homme et Femme ? Du costaud, un sacré travail dans la composition, quelle complexité aussi, et puis ce sillage ! Impossible à oublier...

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par Petrichor, le 25 août 2022 à 14:41

En ce qui concerne "Mon parfum chéri", donc, la facette automnale de prune "cétone pêche" est bien là dans l’accord principal, mais elle n’est pas dominante.
Mais si je devais ranger les effets par intensité, dans l’accord principal de la version EDP anniversaire, ça donnerait :
iris > patchouli > prune de lactone pêche > violette baumée
En terme de prune automnale patchoulisée, ma préférence va à "Voleur de rose", l’EDT de l’Artisan parfumeur. (Dieu merci, ils l’ont toujours au catalogue).
L’inflexion pêche de MPC est proche de celle de l’ex "Profumo" d’Acqua di parma.

C’était d’ailleurs ma critique principale envers le Goutal à sa sortie. Je touvais "Mon parfum chéri" trop indéterminé, face à un vaste choix d’accord "rose patchouli" ou de "chypre fruité à la cétone pêche". (C’était sur le support papier. Je suppose que l’iris serait mieux ressorti sur le tissu et la peau).

Moi et ma grande bouche... depuis ce panel de parfums a été bien attaqué. "Bal à Versailles" a disparu, "Aromatics elixir" a disparu en concentration parfum et l’EDP a récupéré des notes lourdes en fond. "Nahéma" de Guerlain fait figure de survivant en EDP, "Parure" n’a pas été réédité, "Mitsouko" se maintient entre deux eaux mais l’extrait est arrêté, malgré la très belle version 2017 et sa facette de mirabelle -bouquet floral du début-, etc. Peut-être que j’apprécierais mieux "Boxeuse" de Lutens aujourd’hui.

Pour la facette "prune / pêche de parfumerie" dans "Mon parfum chéri" :
Comment souvent, le rendu n’est pas figuratif, on est dans l’abstraction.
Je pense qu’on peut attribuer à cet ingrédient ce côté pâte de fruit, fruit confit. On est proche aussi de l’impression de lumière tapisé par un verre dépoli, ou un verre opalescent. C’est connu pour "Mitsouko", mais je commence à faire le rapprochement avec "Egoïste" de Chanel -du coup peut-être qu’il y en a-. Tout ça me donne aussi envie de voire l’état actuel de l’extrait de "Coco" de Chanel. (L’edp est un joli accord semi-synthétiqu de jasmin rose et tubéreuse, peut-être que l’extrait a retenu plus de facette poudré sec, pâte de fruit, et raisin sec, bref de l’ambre et du patchouli).

Le nom.
Je suppose que Goutal avait déjà "chéri" de déposé avec "Petite chérie", peut-être que ça a simplifié l’obtention de la propriété intellectuelle sur le nom de parfum.

Amouage.
Je connais. C’est une marque que j’aime -j’aimais- beaucoup. J’ai récupéré récemment un "Gold woman" EDP un peu plus vintage que je ne le pensais (bouchon pas magnétique).
La dose de civette est dingue, le ressenti olfactif de cette excrétion de civette est presque granuleux. Dans les versions que j’avais déjà senti, la rose n’était pas si rouge, avec presque des inflexions de mûre, presque bourgeon de cassis. Mais la rose n’est pas l’ingrédient principale, le barycentre de Gold c’est l’encens blanc et les notes animales, comme une sorte d’accord "d’ultra-fond". Pour un pay où on parfume ses vêtements avec un encensoir, on retrouve un peu de cette façon d’encrer sa tenue par une odeur qui les transforme en bouclier talismanique. Lutter contre la sécheresse par l’ambre sec, contre la mort par l’acceptation de mort par l’encens, et contre le putride par les notes animale qui durent des semaines sur des vêtements qu’on ne lavera pas de la semaine. Je m’attendais plus à l’abstraction métallique d’un Madame Rochas surdosé à l’oliban, et du castoreum pour animal principal. (Madame Rochas : rose à effet de "rosée", à cause de l’axe de muguet, fond ambre sec et encens blanc). C’est aussi à se demander si la rose n’était pas volontairement sous-dosée, dans un pays où, quand on est très riche, on va vous passer de l’eau de rose sur les mains plusieurs par jour, comme rituel d’entrée dans les maisons. Chaque version et concentration de Gold woman a été un peu différente, mais j’ai déjà beaucoup parlé.
J’ai un vieux "Gold man" EDT d’occasion, en flacon inspiré du poignard kandjar.
Je l’ai cru différent de l’actuel, mais c’était parce que le parfum se concentre dans la tige, car je ne l’utilise presque jamais. C’est une grosse bouffée de mimosa (les extraits naturels de mimosa et de cassier, avec leur signature de melon confit (calisson) ), sur un fond d’ambre sec assez urinaire. C’est rare d’avoir une surdose de mimosa naturel, c’est rare que ce soit pour homme, et c’est rare de proposer aux hommes de dégager un tel sillage, y compris la facette animale qui déborde sur le pipi.
D’ailleurs, pour ceux qui trouve que "Une fleur de cassie" de Malle est devenu trop poli, c’est intéressant d’aller sentir "Gold man".

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par Farnesiano, le 25 août 2022 à 17:08

Profumo et Voleur de roses appartiennent à mon panthéon olfactif. Je rapproche le premier de Mitsouko, en moins poudré-vaporeux-vintage et le second me plaît par son côté vineux, que je me plais à retrouver un peu dans Salute ! de Parfum d’Empire (une merveille à porter les longues et belles et soirées d’été).
Les rapprochements que vous établissez entre certains parfums souvent m’intriguent et m’interpellent. Ainsi je n’imaginais pas de comparaison possible entre la pêche et la prune : quand la première développe un côté estival à la fois souple et duveté, l’autre me plonge dans les prémices vaguement mélancoliques de l’automne, sans doute aussi à cause de ce côté pâte de fruits ou parfois aussi compote, moins rond et comme humide, en tout cas rafraîchi. Mais ce ne sont que des impressions, nourries trop souvent par certaines habitudes, par les tics des parfumeurs, par les pyramides annoncées, par la couleur du jus, et jusqu’à la forme du flacon, etc. Par ailleurs mon nez me joue des tours, et je bloque devant certaines notes que je ne parviens à isoler...
Mais merci encore pour tous ces développements hautement instructifs... et si agréables à lire :-)
Bon week-end !

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par Petrichor, le 27 août 2022 à 17:03

Merci pour ton message :) Tu me fais prendre conscience d’un fait. Je n’essaie même plus de différencier la pêche de parfumerie, de la prune de parfumerie, en encore moins d’une restitution stable dans le temps d’un fruit frais.

Avant l’essai, les pyramides olfactives sont rarement pertinentes, rarement fidèles au résultat.

A l’utilisation, on a rarement un effet figuratif. La pêche-prune est plus encore qu’une abstraction, un effet de texture. Et elle change au court de l’évolution du parfum. C’est souvent à l’endroit, où on trouve la pêche-prune, qu’on trouve aussi le carrefour de transition du parfum. Et c’est là où les compositrices et compositeurs innovent sur des formes anciennes.

Les mots sont mis en échec.
En plus, ce sont souvent les mêmes ingrédients, orientés différemment. Donc c’est plus facile de décrire des directions. Avec le temps, je me suis fais quelques catégories :

- fruit frais mûr photoréaliste, aux joues rosies, prune ou mirabelle ;
- fruit en conserve et son sirop ;
- pâte de fruits et fruits confits -voire fruits secs-, velours du duvet de pêche ;
- ou quand la rose domine largement la prune, pour l’accord classique "rose patchouli" ;

- pêche-prune de parfumerie, en équilibre sur un fond boisé en tension, tantôt boisé crémeux (iris, santal), tantôt boisé sec, cuir ou fumé (cèdre, vétiver, tonalité cuir de l’osmanthus), et qui prolonge plus ou moins bien son caractère floral (iris, reste des poivres ou clou de girofle, ?patchouli ?) ;

- disparition dans un fond vanillé ambré (ciste-labdanum) ;
- ou pruneau salé ("Mont de narcisse" de L’artisan parfumeur a ce petit côté là, de friandise un peu poivrée salées. L’effet salé est parfois l’indice de notes animales naturelles ou de synthèse, comme l’ambregris de certains vieux Mitsouko, en toute fin de l’évolution) ;

Etc.

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par Farnesiano, le 28 août 2022 à 08:33

- Merci encore, Petrichor, pour tes développements sur nos fruits, tant appréciés (Ah, le jaune mirabelle !)
- C’est curieux : Mont de Narcisse a tout pour me plaire, vraiment tout, mais je n’arrive pas à l’apprivoiser. J’ai comme l’impression que ce parfum, sur moi en tout cas, demeure trop compact, qu’il cherche un peu sa voie, sans réellement m’offrir le bonheur que tant d’autres, plus banals et parfois bon marché, font sans effort, et même certains très complexes (les bons Guerlain, quelques Maître Parfumeur et G., les vieux Patou etc.). Au fond, les parfums, c’est un peu comme les personnes : souvent, on est fait trop vite le tour. Parfois à tort. Ainsi, il m’aura fallu attendre cet été, avec ses fortes chaleurs si sèches, pour que s’épanouisse sur moi, peau et vêtement, le curieux Mal-Aimé de Parfum d’Empire... alors que je l’« essayais » depuis Noël !
Certaines créations constitueraient donc, plus que le seul plaisir d’êtres portées, de véritables expériences : le Mal-Aimé, Nuit de Bakélite, L’Eau de Merzhin...

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par ghost7sam, le 29 août 2022 à 08:00

Salut Farnesiano, je m’insère dans ce bout de conversation puisque vous parlez de Mont de Narcisse. Sur touche, c’est un parfum qui développait une note qui me dérangeait, entre le floral, le végétal et le cuir. Mais alors sur peau, c’est un confort incroyable, un jaguar qui arrive en ville et en prime, un des parfums qui m’a valu le plus de compliments ever !

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 23 août 2022 à 10:41

Les Exclusifs de Chanel
Gardénia Eau de Parfum ( échantillons )

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DOMfromBE

par DOMfromBE, le 23 août 2022 à 10:37

N°19 EDP.
Pour beaucoup, c’est juste une vieillerie du mainstream. Dommage que Chanel donne l’impression de le laisser en retrait si pas sombrer.
Depuis mon COVID et une perte d’odorat, il me plaît encore plus que son grand frère.

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par HUMBERTO, le 23 août 2022 à 10:44

J’ adore le 19 de Chanel.

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par Daphnez, le 22 août 2022 à 18:31

Tendre Poison , Retrouvé sur la commode de ma grand mere ce jour, apres avoir preparer les affaires de mon papy. Il gardait 2 flacons precieusement. Un de tendre poison et un d amarige..
Douceur d un autre temps, epoque revolue.. joli et agreable.

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HUMBERTO

par HUMBERTO, le 22 août 2022 à 12:14

Guerlain, Mouchoir de Monsieur,( malheureusement interrompu )

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