Auparfum
Flacon de Le Mâle - Jean Paul Gaultier
Les Classiques
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Barber choc

par Jeanne Doré, le 19 mai 2007

Jean-Paul Gaultier voulait un premier parfum pour hommes qui sente comme chez le barbier, une bonne vieille odeur de savon à barbe, mais qui aurait été rafraîchie et remise au goût du jour des 90’s par une touche de modernité et d’audace. Il suffisait donc de reprendre la bonne vieille référence incontournable de l’odeur de “mousse à raser” qu’est Brut de Fabergé, de lui greffer un bouquet de menthe et d’anis en tête, et d’envelopper le tout de beaucoup de muscs et le tour était joué.

Cette analyse est très simpliste et réductrice, mais le résultat est spectaculaire : une odeur classique, rassurante, familière, et terriblement nouvelle.

On le sait, Le Mâle a vite été un parfum “gay”, sans doute principalement à cause du créateur, du flacon, et de la communication, mais un des parfums masculins le plus vendu en France ne peut plus être qu’une icône gay, il est porté par beaucoup d’hommes différents, du jeune de banlieue en quête de virilité, au cadre dynamique qui veut un peu s’encanailler, en passant par l’adolescent skateur qui trouve juste que c’est frais et facile à porter.

Fédérateur, novateur, inspiré, réinventé, bien marketté, je ne sais pas quel est le secret exact du Mâle, peut-être un peu un subtil mélange de tout cela. Et ça marche.

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par maposapo, le 7 février 2015 à 14:12

Je n’ai envie de m’étaler aujourd’hui. Gaultier a inventé quoi ? Il a pris Paco Rabanne pour homme et a rajouté de la menthe en enlevant la touche de miel. Pas de quoi fouetter un chat !
Mesdames Messieurs les auparfumistes, allez sentir Paco Rabanne, avant qu’il vende da daube dorée, et vous verrez que Gaultier a été bien inspiré, mais qu’il n’a rien inventé du tout, car tout à déjà été fait.
La seule différence, c’est qu’on a la même présence originale et masculine en portant Paco Rabanne, sans ecoeurer personne avec une menthe qui domine tout le reste.
Il y a une personne qui a parlé de Paco Rabanne pour homme dans les commentaires...une....bravo...un connaisseur...
Fouillez en bas des étagères, sentez...tout a été fait déjà !!!

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par hangten, le 7 février 2015 à 17:47

Bonsoir,
Pas vraiment d’avis sur ce qu’il a fallu ajouter à Paco Rabanne pour qu’il devienne Le Mâle... Simplement, au final, je déteste le paco Rabanne et j’aime beaucoup Le Mâle. Et pas certain que tout avait déjà été fait... Ou alors, tout a toujours déjà été fait... (Et l’on viendrait donc trop tard, quoi que l’on propose) Ce dont je doute.

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par Jicky, le 8 février 2015 à 02:16

Bonsoir maposapo,

Comme Hangten, je pense que votre commentaire est un raccourci à la fois pertinent mais en même temps un peu trop facile. (Je dis ça sans aimer le Mâle, c’est un parfum que je considère beaucoup mais que je trouve quand même surestimé). Effectivement, Le Mâle empreinte beaucoup à Paco Rabanne pour homme mais c’est normal... C’est une fougère barbier style ^^ tout comme Paco Rabanne ressemblait déjà à des dizaines d’autres fougères barbiers de ce registre. Mais ce sont à chaque fois ces petites évolutions, ces petits twists et ces simili-hommages qui font avancer la parfumerie de manière intelligente ;)

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par Blat, le 8 octobre 2014 à 19:12

De plus en plus conquis par cette odeur, tellement familière en fait (limite incrustée dans l’inconscient collectif - un peu à l’instar de ce que disait son créateur en référence à l’imaginaire des odeurs de l’univers masculins des salons de barbiers). Familière au point qu’au départ, je ne la sentais presque pas.
Pas du tout vulgaire, pas forcément facile d’accès.
Un complément, un prolongement, à l’hygiène masculine... comme si on prolongeait l’odeur du "propre".

Je la trouve en fait hyper séductrice et rassurante, si je devais ne garder que deux qualificatifs. On s’y sent bien dedans quoi. Elle n’est pas faite pour dire à tout le monde que l’on s’est parfumé.

Question : quelqu’un connaît "suivez-moi" de Fragonard ? Il paraît que c’est le même parfum...

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par hangten, le 9 octobre 2014 à 23:05

Bonsoir !

Oui je le connais et je le possède , comme Le Mâle. Il est effectivement très proche de l’icône, sans la menthe, plus doux et moins puissant. Il pose vraiment la question de la copie, avec cependant un écart entre le clone et l’original. Je l’aime bien cependant, comme j’aime bien cette marque, très accessible et de qualité.

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par Blat, le 30 août 2014 à 15:50

Il existe deux versions plus "mâles" du parfum le mâle "original" (pour ceux que ça dérange de porter un parfum de gonzesse (ben oui, ya des mâles et des gonzesses ^^)

- le mâle terrible donc plus "boisé"
- et aqua velva. Et oui, l’after-shave pas cher distribué dorénavant par williams que l’on trouve en grandes surfaces. Pour le sentir et le porter, je trouve franchement qu’on est dans la même veine que le mâle, mais en moins androgyne.

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par Thelittlebox, le 30 août 2014 à 16:51

Coucou Blat

pour ceux que ça dérange de porter un parfum de gonzesse

Vous savez la distinction masculin/féminin en parfumerie est surtout commerciale.
Le Mâle est une fougère gourmande, le coté sucré est plus féminin, mais cette lavande accord fougère à tout d’un parfum masculin. alors si on suis la classification hommes/femmes, il est pile poil entre les deux genre. Ou plutôt, il est aussi bien d’un coté que de l’autre. (Comprendra qui pourra ^^)

Les boisées sont effectivement souvent associé à la parfumerie masculine, mais il y a également un facteur culturel qui intervient dans ce classement et qui fonde son non-sens.
En inde par exemple, les hommes portent des parfums à la rose, Rose Absolue et Rose Splendide ont la cotte auprès des individus Mâle de ce pays. Il ne sont pourtant pas moins virils que le reste du monde.

Thelittlebox

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par hangten, le 31 août 2014 à 11:37

J’agrée sur toute la ligne...
C’est d’ailleurs cette ambivalence qui fit du mâle une eau si polarisante à son lancement : je me souviens avoir été qualifié de "gonzesse" à le porter, alors qu’aujourd’hui beaucoup n’y voient qu’une fougère plutôt virile... Les goûts évoluent, bien sûr, mais je m’étonne toujours que l’on n’essaie pas de resituer une eau dans le contexte historique (au sens d’histoire du parfum associée à un état de la société) de son lancement... Même si ce sont finalement nos sens qui statuent...
Bref, vive Le Mâle, et encore une fois, je regrette sa reformulation...

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par evanilson, le 22 juillet 2014 à 13:39

le must mais je le porte plus trop de personnes le portent !

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Vol de Nuit

par Vol de Nuit, le 16 août 2013 à 21:48

A ma demande, moi qui cherche un parfum qui s’accorde avec Le Mâle, Jeanne m’a conseillé un parfum vanillé poudré ou musqué. Ne disposant pas d’ombre Rose (honte a moi, je ne l’ai jamais senti) je vais tester avec les orientaux poudres dont je dispose : l’instant (vanille qui me semble poudrée) et instant magic (pr le musc) de guerlain. Traversée du Bosphore. Kenzo flower (pour le poudré) hypnotic poison, shalimar et l’heure bleue (qui partage vanille anis et musc, avec le Male). Kenzo amour.

Et aussi Classique de Gaultier qui doit être vanille poudré. D’autres suggestions ?

Merci d’avance ! Je cherche un parfum qui se marie avec celui de l’Homme de ma vie.

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par Patrice, le 16 août 2013 à 22:26

J’ai réfléchi à votre requête hier, et j’ai trouvé quelque chose. Pas forcément savonneux, mais très vanillé, poudré, musqué, très signé, élégant, avec du sillage, et... de la lavande !
Ce parfum est un Chanel, et il s’appelle Jersey.
 
Oui Jicky, je te vois déjà hurler au scandale.

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par Vol de Nuit, le 17 août 2013 à 00:15

Un grand merci, Patrice ! Je le connais de nom. Pas facile d’accorder deux parfums. Qu’ils soient harmonieux.

Le Male est tres puissant (mon ami en met a mini dose et on le sent tres bien).

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par Jicky, le 17 août 2013 à 21:17

Je vais pas hurler, je suis civilisé tout de même.

disons que, selon moi, la réponse a déjà été dite : c’est Jicky de Guerlain. Si vous souhaitez une lavande qui soit construite, belle et avec du sens, tout y est.

Jersey : de la lavande, de la violette et des muscs. 250€. Bitch please. Si vous aviez à craquer pour un Exclusif de Chanel, s’il vous plait, il y a teeeeeelllement mieux avant lui !!

 

(bon puis de toute manière je compte pas... Je n’aime pas du tout Le Mâle. Mais c’est hyper subjectif, ça reste un néo classique révolutionnaire à son époque et tout le discours... Juste je ne l’aime pas, comme presque toutes les fougères lavandées orientales. Hormis Jicky. Normal ^^)

A la limite, testez Chergui de Lutens. J’ai toujours vu ce parfum comme une sorte de Mâle encore plus oriental (donc encore moins beau selon moi, mais c’est là quelque chose de très personnel, ça reste là encore un bon parfum)

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Vol de Nuit

par Vol de Nuit, le 1er août 2013 à 19:10

Je viens de craquer et j’ai achete le Male ! Ca sent vraiment merveilleusement bon.
J’aime la lavande (Jicky et Pour un Homme) et la, cette menthe !!!

C’est delicieux.

J’ai hesite 8 jours et paf ! Craquage complet (le male d’origine pas le beau Male)

Je lui mets 4 etoiles finalement.

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par hangten, le 1er août 2013 à 20:51

Bravo ! L’un de mes favoris : j’y reviens toujours, même s’il me semble avoir perdu en sillage et en longévité.

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par Vol de Nuit, le 2 août 2013 à 07:45

Merci ! Les reformulations a cause des directives anti allergiques, ont du le priver des notes d’origine plus "intenses". C’est helas le cas de tous les parfums...
 
En tout cas c’est vrai un parfum extra. Je l’ai senti sur un homme de 20 ans et sur un autre de 50-55 et il s’adapte a tous.
J’ai même une amie de 76 ans qui m’a dit qu’elle l’avait porte ! (Elle porte Fahrenheit Dior et Terre d’Hermes aussi).

Je n’aime pas les flankers par contre, même si les flacons sont beaux dans leur transparence (ou blanc laque pr Fleurs du Male).

Il faut que je convertisse mon homme (je lui ai offert le vapo hier). Il est plutot Guerlain (jicky) mais c’est toujours une lavande vanillee donc, même esprit en fait. Même si Jicky se la joue moins "propre savon".

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par Jicky, le 2 août 2013 à 16:49

Je suis plutôt pour qu’il continue de porter Jicky ! Il a plus besoin de ses porteurs que le Mâle pour survivre ^^

(Fleurs du Mâle est génial. Perso je le trouve plus intéressant encore que Le Mâle ! Et un des meilleurs Krukdjian AMHA. Bien évidemment, il est en train d’être arrêté ^^)

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par xxerus, le 2 août 2013 à 17:02

Fleur du Mâle : excellent mais tellement segmentant... Profitons en avant qu’il ne disparaisse ! (sniff)

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par Jicky, le 2 août 2013 à 17:18

Alors que le Beauf Mâle...

Fleurs du Mâle mon papa a dû en consommer une bonne dizaine de flacons. Faut que je lui dise de se faire des stocks (et je vais me faire un décant d’un de ses flacons, pour mon Osmothèque perso... C’est pas de la fourberie, c’est pour la bonne cause !)

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par xxerus, le 2 août 2013 à 18:28

Oui moi non plus je suis pas trop Le Mâle même si je reconnais que le travail de modernisation d’une fougère a été bien fait en empruntant des références olfactives évidentes (Pour un Homme de Caron par exemple).
Fleur du Mâle est tellement plus "risqué" au niveau de sa direction artistique ! On aime ou on ne l’aime pas ; et personnellement j’apprécie beaucoup les parfums segmentants qui assument leur prise de risque... quitte à être un échec commercial. Fleur du Mâle s’inscrit dans la logique des parfums de niche, et ça, j’aime !
Moi aussi, je vais commencer à faire ma propre osmothèque !!!

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par hangten, le 3 août 2013 à 10:01

Bah pour avoir porté Le Mâle dès sa sortie, j’ai essuyé pas mal de commentaires désobligeants. Je pense que le pari était loin d’être gagné à l’époque, et que la prise de risque était réelle...

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par , le 3 août 2013 à 10:24

je plussoie le com de hangten, à sa sortie en 1995, il ne m’a pas mais alors pas plu du tout...Quand j’ai senti le mâle j’ai failli aller aux toilettes (j’exagère un peu là...) mais il ne faisait l’unanimité loin delà.
Donc moi aussi je pense que la prise de risque était réelle.

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par Troudujol, le 18 août 2013 à 11:52

Concernant Fleur du Mâle, sa suppression est-elle déjà officielle ? C’est vrai qu’il a été soldé en juillet chez Douglas, et que sa place dans les rayonnages diminue comme peau de chagrin...

Quoi qu’il en soit, il est très probable qu’il ne survive pas au rachat programmé de la licence Jean-Paul Gaultier par Puig à la fin du contrat BPI Shiseido...

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Vol de Nuit

par Vol de Nuit, le 24 juillet 2013 à 20:19

J’ai senti LE MALE pour la premiere fois cet après midi sur un superbe Monsieur, la cinquantaine, fonctionnaire, costume-cravate, la classe ! J’ai ose demander le nom de son parfum qui m’est apparu epice. Et surtout j’ai pense a une odeur de tubereuse (j’ai cru reconnaitre la tete de Poison de Dior) mais c’était la menthe + armoise+ bergamote. Une note de tete "dentiste" comme je la reconnais toujours...
 
J’y suis allee "franco" : c’est vous qui sentez bon comme ca ?
 il a souri (vu qu’on etaient seuls) et a ma demande, m’a dit que son parfum est Le Male de JPG. Dire que j’ai ete surprise serait un doux euphemisme. Je trouve que l’image donnee par le parfum est en decalage avec l’Homme (certes il n’est pas marin ni trentenaire) mais la Fougere Lavande-vanille, elle, est en parfaite harmonie.
Je n’avais jamais senti ce parfum déjà "ancien" de JPG. Juste "Classique" a sa sortie. Le flacon du Male m’amusait, je le trouvais sympa mais pas envie de le sentir car pour moi, la marque (je sais c’est idiot) ne pourrait rivaliser avec Guerlain, Caron, Lutens, Dior et Chanel en terme de "chic" de raffinement. 
Vous pouvez penser que je suis snob. Je le suis surement !
 
Et moi qui suis tres "dorure", un parfum dans une boite de conserve, c’était impensable.
 
Alors je dois reconnaitre que d’une part, je me suis trompee car JPG sait faire de beaux parfums (Classique par ex et le Male ) et d’autre part, que sur ce (tres) bel homme vraiment "classe", le Male a pris des quartiers de noblesse et m’a semble merveilleux.

En plus il m’a dit qu’il avait vaporise l’eau de toilette la veille sur sa chemise et donc ce parfum était nettement perceptible a 70 cm de moi le lendemain ! (Distance reglementaire quand on est une fille en jean tee shirt et non en corset, et qu’on entame la conversation pour la premiere fois avec un Monsieur treeeeees habille).

C’est vraiment la fougere de papa ! une belle reussite. Il n’est jamais trop tard pour decouvrir un bon parfum et reviser ses jugements et prejuges.
Je l’aurais imagine avec Jicky de Guerlain ou Eau sauvage, moi.
 
Je me suis ruee a la parfumerie pr vaporiser sur un mouchoir de coton blanc ce parfum et voir son evolution.
Nan mais je vais surement faire comme ds la pub et serrer mon oreiller (sur lequel j’ai mis le mouchoir parfume) demain matin... Chut ! 
Je mets 3 etoiles. Il est extra.

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par Patrice, le 24 juillet 2013 à 21:44

Le lien avec Poison ne m’étonne pas. La bonne dose de tonka dans les deux les relie. Et donc, par association, vous avez pensé à la tubéreuse !

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par Vol de Nuit, le 24 juillet 2013 à 22:55

Bonsoir patrice !

Merci pour la reponse et l’explication concernant la tonka. Au bout de plusieurs heures le male (eau de toilette et non les flankers) s’epanouit dans une delicieuse odeur de savon (a barbe si j’ai bien compris) et il a des notes qui me rappellent un peu tsar de van cleef (armoise en commun).

Je raffole des parfums savonneux et poudres. Je suis vraiment epatee par ce parfum.
J’ai eu de la chance que ce monsieur me donne le nom de son parfum. Je l’apprecie vraiment bcp.

Je ne sais absolument pas ce que sent la feve tonka. Je sais que les guerlain en possedent - surtout les anciens mythiques- et aussi shalimar parfum initial. Je sais que je les aime. Donc je dois aimer cette odeur.

Je n’ai pas un grand pif pr detecter les diverses notes mais j’y travaille. Je sens la lavande c’est sur mais noyee dans un savon et ca me parait boise epice.

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par Patrice, le 24 juillet 2013 à 23:25

Sentir chaque note, savoir ce qu’elles sentent individuellement, c’est très intéressant, car on est curieux de pouvoir mettre des noms sur ce qu’on sent. Mais ce n’est pas non plus essentiel. Mais découvrir et apprendre les matières premières sont des choses passionnantes et qui, quoiqu’on en dise, permettent de mieux comprendre toute l’évolution de la parfumerie, les liens des parenté, les évolutions, les modifications au fil des époques... C’est un peu comme étudier une langue qui se modifie, s’enrichit, perd des mots, au fil des ans, des décennies, des millénaires.
 
Pour la tonka, Le Male en contient une bonne quantité, donc vous la sentez bien dedans, sauf que comme vous ne savez pas réellement ce que c’est, vous n’arrivez pas à la distinguer. Quand vous aurez "compris" ce que ça sent, ça vous paraitra évident (j’ai eu beaucoup beaucoup de mal à comprendre les aldéhydes, au début).
Coumarine, tonka... on va dire que c’est la même chose pour faire simple. C’est une matière ESSENTIELLE de la famille fougère. La clé de voûte. Un peu comme le labdanum dans l’accord oriental, et la mousse de chêne dans le chypre.
C’est doux, amandé, miellé ’moins dans la coumarine, jusqu’à "miel corsé" pour l’absolu de fève tonka), poudré, un peu vanillé, balsamique, caramélisé...
 
Je cherche un parfum qui pourrait en contenir une bonne dose et plutôt en solinote pour que vous puissiez "comprendre". Le hic, c’est que la coumarine est ultra réglementée maintenant !!!
Allez jeter une narine du côté de Body Kouros, d’Amande Persane, Gris Clair (qui en est bourré en fond, vous la sentirez en laissant une mouillette quelques heures de côté !) et Dzhari que j’ai découvert récemment, dans la marque Phaedon.

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par Patrice, le 24 juillet 2013 à 23:34

Ou alors, plus simple, rendez-vous dans votre supermarché habituel, au rayon pâtisserie, parfois on trouve des fèves tonka brutes, vendues pour mettre dans les gâteaux.

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par Vol de Nuit, le 25 juillet 2013 à 08:16

Merci patrice !

Tres interessant ce que vous ecrivez.
Je prends le reflexe de sentir les epices, chaque aliment. Pour que le nez se souvienne. Ca doit devenir un reflexe.

Je vais chercher la tonka !

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par Aaricia, le 25 juillet 2013 à 10:27

C’est excellent la tonka, dans les pâtisseries au chocolat par exemple, ça en rehausse le goût.
Pas facile à trouver par contre, il vaut mieux taper du côté de l’épicerie fine.
Attention toutefois à ne pas faire d’overdose, c’est comme la noix de muscade, à haute dose il parait que c’est toxique... mais en saupoudrage je ne pense pas.

Je me suis fait un rhum arrangé vanille-tonka (1 gousse de vanille ouverte, une fève entière). Ca fait 6 mois et il sent divinement bon.

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par poison, le 25 juillet 2013 à 16:58

Tubereuse ? oh nonnnnnnn et heureusement d ailleurs !
Je suis folle de tubereuse et le male et le seul parfum au monde que je hais de tout mon nez lol !

il est le seul que je reconnais a 10 klm et qui me fait fuir piouuu !

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par , le 25 juillet 2013 à 21:43

Le mâle est un grand ,très grand parfum. le fait qu’il se soit retrouvé dans les cousrs de lycée a toujours été pour moi un mystère...
J’ai toujours préferé ce parfum sur des hommes mûrs, je ne saurais dire pourquoi, mais ça "colle " mieux....
sans doute le côté capiteux du parfum, peut etre la lavande aussi, C’est vrai qu’on le sent moins maintenant , tant mieux, je vais peut etre m’en reprendre une bouteille.

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par Blat, le 5 avril 2013 à 19:46

Bonjour à toutes et tous,

pour avoir découvert "le mâle terrible", je trouve que la lavande y est plus présente. Me trompe-je ?
De plus, le fond fait moins poudré, plus masculin. Me re-trompe-je ?

Une version de "le mâle" moins évanescente, plus présente et masculine.

Est-ce cela le mâle terrible ?

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par Opium, le 11 avril 2013 à 17:11

Bonjour Blat.

 

Merci pour votre retour.
A propos du parfum Le Mâle Terrible, je ne sais pas s’il est "plus lavande", mais, en tous les cas, il est bien aromatique c’est vrai. Moins poudré en fond me semble-t-il. Et plus vétiver : le bois mythique de ces messieurs chez Guerlain, ce qui en fait, indéniablement, un parfum très "masculin", moins androgyne que Le Mâle effectivement. Et, surtout, très joli, bien plus que Le Pas Beau Du Tout Mâle ! ;-)
Si Juliette du blog Poivre Bleu a l’occasion de nous lire, peut-être aura-t-elle quelque chose à ajouter.
Elle adore Le Mâle Terrible et c’est elle qui me l’a fait découvrir. ;)

 

Bon craquage s’il a lieu... ^^
Bonne fin de journée à vous.
Opium

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par Troudujol, le 18 mars 2013 à 11:23

Le Beau Mâle est vraiment très caca boudin. Je ne sens pas la menthe, mais une vague noix de muscade noyée dans les molécules de synthèse. Le rendu est indubitablement bas de gamme et peu recherché. Même déception que pour A*Men Pure Shot l’an dernier, dans la même veine.

Cela fait longtemps que les parfums Gaultier ne m’ont pas plu (Kokorico, Kokorico by Night, berk berk berk).

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Opium

par Opium, le 17 mars 2013 à 21:04

Bonsoir à toutes et à tous.

 

Le Mâle avec A*Men lançait, dans les années 90, une nouvelle tendance de parfums masculins plus androgynes qui perdure toujours, et même plus que jamais, aujourd’hui sous d’autres formes (plus simples et au rendu souvent plus sec et "synthétique").

 

Moi, j’aimais bien Le Mâle auparavant car j’en aimais bien l’odeur tout bêtement : cette lavande réchauffée par un fond doux qui la rend plus fun, moins classique, plus ronde et chaleureuse. Cette odeur a priori simple mais à l’originalité évidente qui fait qu’aujourd’hui encore, on le reconnaît entre mille n’importe où ; enfin, s’il ne s’agit pas de l’une de ses quelques photocopies. Des photocopies "haut de gamme" tant en grande distribution personne n’a osé l’imiter du fait de son sillage trop facilement reconnaissable. Ah, si, y a bien le dernier truc de Lanvin, au flacon noir avec une bande bleutée-vert en son centre, je ne me souviens même pas du nom, mais, c’est la version "Light" du Mâle (lavande, menthe et coumarine douce réajustée). Ah, si, c’est Avant-Garde le nom, mais ça devrait être "Rétro-Grade" ! En revanche, on n’hésite pas à "lui rendre hommage", comme le veut le proverbe (comprendre "l’imiter" ou, au moins, fortement s’en inspirer), dans la parfumerie de niche (oui oui, Chergui et Antico Caruso, c’est bien vous que je pointe du doigt ! ^^).

 

Le Mâle est, effectivement, un peu daté aujourd’hui, comme le sont tous les parfums qui ont marqué les esprits durant suffisamment d’années. C’est le signe qu’il a été l’emblème d’une époque. Lui, il représente les "fougères de papa" des années 70-80, mais "... décomplexées et désinhibées par les fistons qui ont envie de fun" et de douceur (vanillée) dans les années 80-90. Jaïpur pour Homme, Minotaure, Opium pour Homme et Body Kouros sont issus de plus ou moins près de cette famille et de cette envie de masculins moins caricaturaux du "parfum du père".
Aujourd’hui, ce sont les parfums des années 90-00 qui deviennent typés de certains parfums un peu dépassés. Boss Bottled, Allure pour Homme et Armani Code qui signaient la sortie des trucs très sucrés vers des territoires plus orientaux et boisés, un peu plus en demi-teinte, mais toujours assez "doux", font "Parfums demi-ton" de transition comparés aux actuels nouveaux cartons, les "Hormonés testostéronés aux bois-qui-piquent" actuels.

 

Le Mâle, c’est la famille la plus virile de la parfumerie, les "fougères" - composées de lavande, géranium (qui sent entre autres la menthe), et coumarine (à odeur de colle Cléopâtre qui sent les amandes douces) -, qui subit une séance de distorsion, de torture moyenâgeuse, par les pieds et par la tête, pour en faire un objet androgyne. Dans ce numéro de contorsionniste, on prend la lavande aromatique entre amertume et douceur réglissée et la coumarine à odeur hésitant entre vanille et amande sucrée à laquelle on ajoute encore de la vanille, puis, on étire et gonfle le tout au maximum. Le pauvre géranium qui sent la menthe et donne le reflet du savon de barbier qui rappelle qu’on est un homme, "un vrai", et se trouve au milieu, est écrasé par compression. Et voilà comment on passe du parfum le plus typé masculin à un parfum féminisé. Sans vraiment modifier ce qui en compose la structure mais, plutôt, en modifiant surtout les proportions. Une petite rectification qui a un impact énorme.

 
Aujourd’hui, j’apprécie Le Mâle pour son intelligence de composition. Qui, en plus, fait un triple clin d’œil, dont je ne suis pas certain que son concepteur et son équipe en aient été conscients lors de son élaboration, comme c’est d’ailleurs souvent le cas dans un geste créatif, où le propos et l’intention ne se rejoignent que rarement finalement : au premier parfum masculin à très grand succès, Pour un Homme et sa lavande adoucie en fond ; à feu Moment Suprême de Jean Patou et sa lavande ambrée ; et au parfum le plus androgyne de tous (en dehors de Mitsouko), Jicky, le presque premier vrai parfum moderne avec de la lavande coumarinée douce et vanillINée, dont on n’a toujours pas décidé entre passionné(e)s si cette fragrance est réellement pour "elles" ou pour "eux", et ça, à plus de cent ans d’intervalle... #chapeaubas

 

Et puis, je préfère largement sentir la lavande vanillée du Mâle au lingot ou aux derniers Saint Laurent falots. J’apprécie beaucoup de sentir son sillage dans la rue, qui se fait plus rare au fur et à mesure que le "Bling en Toc doré" est préféré à la marinière bleue musclée .
Je n’avais jamais exprimé mon admiration pour Le Mâle alors que j’y pense depuis un petit moment, je profite de la discussion qui a été lancée et de ma réponse pour le faire.
Bon, j’en ai fini avec le micro "cours d’histoire de parfumerie de comptoir". ;-)

 

Mais, on lit souvent que "Le Mâle ceci, Le Mâle cela", or, de mon humble point de vue, en termes de fragrance, ce produit est réussi. Une réinterprétation moderne de parfums ayant déjà existé qui parvient à donner l’illusion d’une franche nouveauté.
Ayant beaucoup de succès, il pâtit probablement, au même titre que Angel, d’une exaspération de beaucoup quant à son usage fréquent et parfois nucléaire par certain(e)s (de ses "fans" qui, dépendants, "addicts", le tolèrent de mieux en mieux et "augmentent les doses" quotidiennes) et par des comportements de certain(e)s d’entre-eux, tape-à-l’œil et racoleurs, pour ne pas dire carrément "vulgaires" qui exaspèrent et rendent le parfum par association insupportable.
1 Million, lui, car il n’a ni la profondeur de champ ni le rendu souple ou naturel du Mâle est un "boisé "radouci" " juste gonflant sans charme aucun d’après moi après les deux premières minutes, à l’image des kékés qui l’arborent, en même temps que la casquette Gucci, la pochette Prada en bandoulière, la ceinture D&G à ceinturon monogramme gigantesque, et qui parlent fort à peu près partout. Ce n’est pas le cas du parfum Le Mâle, selon moi, qui possède des qualités intrinsèques que le "lingot en toc" ne possède pas. Je les compare tous les deux car ils visent le même public, les mêmes parts de marché d’un "parfum décomplexé qu’on remarque".
Je me demande si Dior Homme gonflera autant avec sa vanille et sa tonka douce à (très gros) succès... Peut-être pas, mais tout bêtement car il séduit moins un certain type de cientèle tapageuse exaspérante. Si le parfum est assez ostentatoire, pas trop ceux qui le portent dans ce cas-ci. Bleu lui, comme Eau Sauvage ou L’Homme, ne gonflera pas : pas seulement car le "porteur type" n’est pas exaspérant, plutôt "bien propre sur soi" (qui a dit "limite ennuyeux" ? ^^), mais, tout bêtement, car on ne le(s) détecte(nt) pas ! Donc, pas de dérangement possible ! [Cette pauvre Eau "Sauvage" qui rappelait l’écoulement de l’eau entre les pierres et la végétation dans la nature. Après son dernier rinçage, il faudrait la renommer "l’Eau de L’Eau" (comme chez Diptyque, elle ne rappelle plus, en l’état actuel que l’eau froide qui s’écoule d’un robinet et que les municipalités veulent bien nous octroyer ! #C’EtaitMieuxAvant #enrage ! ) ]
Je ne sais pas ce que je préfère ou plutôt, déteste le moins : un parfum qui m’incommode mais, au moins, tente d’assumer un peu de personnalité, même si elle est déséquilibrée et exaspérante (comme 1 Million, La Vie Est PûBelle, Miss Dior Chérie V1.0 (et sa tagada et son pop corn qui se faisaient remarquer, au risque de finir sur la cuvette des toilettes !) ou si, par lâcheté, je préfère un parfum falot insignifiant qui, au moins, ne me dérange pas car je ne le remarque pas (comme Bleu, L’Homme, J’adore qui a beau être le parfum féminin le plus vendu en France, n’est jamais détecté par mon nez, tout comme les deux autres d’ailleurs... [et, tant mieux !], ou... Miss Dior... ex-Chérie V57.234 actuelle devenue plus "harmonieuse" mais aussi totalement insignifiante et non-repérable...).

 

Vive certains parfums décomplexés parfois (et tant pis pour le bon goût dans ce cas, mais, ne cédons pas tout à la totale absence d’élégance malgré tout...) !
A bientôt.
Opium

 

PS : Et, moi, je constelle d’étoiles ce Mâle car je ne cède pas au jeunisme, que j’l’aime bien et que... Je préfère un milliard de fois ça dans les rues plutôt que 1 Million dont j’en ai vraiment marre de le sentir s’imposer à mon nez, et l’assècher, en me vrillant les naseaux pire que du décapant, tout cela une demi-douzaine de fois par jours, avec sa structure pauvre qui n’a rien d’intéressant à raconter... Enfin, à part la "menthe sauvaaaaaaage" ! #déjàculte ^^

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par Blat, le 18 mars 2013 à 01:48

Bonjour Opium (et vous tous),
et merci pour ces deux réponses (fournies) sur le mâle.
En fait (rapport au début de votre réponse 17/03 20h56), ce n’est pas tant que je trouve le mâle pas viril, c’est le moins que l’on puisse dire, mais c’est presque je ne le trouverai pas masculin. Ceci dit, je le trouve bien fait, bien fini. J’avais insisté sur sa non-virilité car en haut de cette page, viril est un de ses 3 qualificatifs, ce qui ne me semble pas approprié (humblement).
J’ai testé guerlain homme : je trouve qu’il fait trop "pour personnes âgés", et roadster : pouah, trop de menthe en fait, ça sent les endroits médicaux propres justes désinfectés. Je ne m’attendais pas à tant de menthe que ça. Merci quand même pour vos conseils.
J’ai totalement revu ma 1ère impression sur le beau mâle : inintéressant en fait. Rien à dire de plus.
Pour finir je pense rester sur mon "toujours fidèle" de ma marque aux flacons tout gris-sobre (fragonard) : un le mâle en plus masculin, frais et tenace je trouve (mi le mâle-mi hugo man). Et moins l’odeur poudrée et vanille en fond. J’avais testé le mâle, vu que j’aime "toujours fidèle", et que dans leurs notes ils sont proches (relativement, surtout pour celles du fond), mais je ne pense pas changer.
Avec toujours fidèle, leur parfum "F !" m’a conquis aussi. Si certains connaissent.

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par Opium, le 19 mars 2013 à 20:50

Bonsoir Blat encore.

 

Merci pour votre retour.
Ah, les impressions de chacun, de l’un à l’autre cela varie énormément. Il y a des gens qui trouvent Angel "frais" ou "classe" par exemple ; je l’adore, mais, vraiment. Pour autant, ni l’un ni l’autre de ces deux attributs ne lui convient.
Bref.

 

Testez avec précaution Géranium pour Monsieur si vous trouvez qu’il y a trop de menthe dans Roadster. En fait, j’ai même envie de dire, "Oubliez cette idée !", il n’est que menthe. Non, testez-le quand même, juste pour savoir comment vous l’aurez ressenti. Idem pour les autres. Mais, toutes les propositions qui vous ont été faites sont des "hyper-menthes".
Les intervenants sur auparfum ont plutôt d’excellentes connaissances, qui m’épatent à chaque fois. De la menthe vous demandez, de la menthe vous avez ! Pas une menthe subliminale de pyramide olfactive promotionnelle qui la cite pour faire joli (comme dans Le Beau Mâle). Non, de la "presque vraie" menthe ! Et beaucouuuuup ! ;-)

 

Guerlain Homme ferait donc pour vous parfum "pour personnes âgées" avec sa structure, il est vrai, classique et "à l’ancienne". Les archétypes des parfums masculins, dont on discutait précédemment, sont indéniablement des parfums qui font datés, vieillots, car c’était ce qui se portait quasi exclusivement dans le passé chez les hommes.
Le problème que vous allez rencontrer est que trouver un parfum masculin, pas androgyne, moderne, qui ne fasse pas "parfum de papi", cela va être difficile dans la tendance actuelle. Vous avez raison de, finalement, rester sur votre choix initial.
Sinon, peut-être vaut-il mieux partir dans une toute autre direction : Eau Sauvage, Fahrenheit, Terre... pourraient entre des options à tester.
Je re-propose Paco Rabanne Pour Homme : peut-être sera-t-il daté lui aussi ; mais, il est beau et masculin sans être trop caricatural. Ah, et un dernier, masculin, aromatique, menthé mais pas trop, c’est Kenzo Homme Sport. C’est Jicky qui me l’a fait relever celui-ci. Pas si mal...

 

Merci pour les infos à propos des parfums Toujours Fidèle et F de Fragonard. Vais aller poser mon nez là-dessus...
Bonne soirée.
Opium

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par hangten, le 1er avril 2013 à 15:00

Entièrement d’accord avec toi, Opium,j’adore le Mâle, et cela depuis sa sortie... Et s’il est très répandu aujourd’hui, je me souviens avoir essuyé des remarques plutôt déplaisantes à l’époque... Et bien je n’ai jamais faibli pour le porter ou pour l’offrir à mon ami...
Roadster reste pour moi une alternative séduisante : moins répandu, plus viril (dans le bon sens du terme s’il en existe un), plus "classieux" aussi... J’aime beaucoup.
Enfin, même si je ne vais pas me faire des amis, je citerais volontiers Dirty de Lush, plus que fort en menthe, et plutôt tenace (rare pour la menthe...).

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par Opium, le 4 avril 2013 à 21:43

Salut Hangten.

 

Merci pour ta proposition de "Dirty" de Lush pour une menthe qui résiste. Va falloir que je teste ça. Rien que pour le nom tiens... ^^
Roadster, avec toute cette menthe est un souci pour moi. La menthe, je la veux dans les nems, dans les thés et dans mes chewiiiiiiing-gums. Mais, je me soigne. A coups de Géranium pour Monsieur sentis sur Jicky (Rien que ça, cherchez la cohérence ? !!), lui aussi "viril", mais "dans le bon sens du terme" également. ;)
En tous les cas, merci pour tes propositions.

 

Ma petite mise au point personnelle à propos du Mâle m’a fait du bien. Je crois que nous sommes bien d’accord à son propos.
Il est probablement trop senti, mal porté par certains, trop aspergé, à doses nucléaires, et par des personnes auxquelles, probablement, certains ne préfèrent pas être identifiés. Mais, là, on parle du parfum dans sa globalité et de son usage, éléments incontrôlables. La fragrance, elle, fait partie de ce type de parfums que je souhaiterais sentir plus souvent.

 

Je suis content de savoir qu’en France Le Mâle se maintient bien puisqu’il conserve la deuxième place des ventes, alors que la concurrence sur le même créneau du "lingot" aurait pu laisser supposer une érosion bien plus importante.
D’ailleurs, il est étonnant de se dire que Le Mâle est presqu’aussi vendu que 1 Million. Je sens ce dernier à tous les coins de rue au moins une fois par jour, alors que je ne sens pas celui-là si souvent en comparaison. Soit que la diffusion n’est pas la même ; soit que le mode d’application est différent ; ou bien encore est-ce parce que je suis plus sensible à ce que j’apprécie moins.
Bref.
J’aime bien ton rappel qui est que ce qui truste les ventes aujourd’hui, essuyait des critiques lors de son lancement. On a toujours trop vite tendance à oublier ce genre de détails.

 

Je le trouve plutôt fringant encore pour sa vingtaine. ;)
Longue vie au Mâle !
A bientôt.
Opium

 

PS : Bien joué l’offre d’un cadeau à partager à la personne qui partage ta vie pour en profiter lorsqu’il le porte...

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