Auparfum

L’Artisan se parfume au Oud

par Jeanne Doré, le 16 septembre 2009

A peine le nouveau Havana Vanille sorti, L’Artisan parfumeur s’apprête déjà à lancer une nouvelle eau de toilette dans la séries de ses Voyages, Al Oudh.

Composé par Bertrand Duchaufour, il s’inspire de la péninsule arabe et contient des notes de cumin, cardamome, poivre rose, neroli, rose, castoreum, civette, cuir, musc, oud, santal, cèdre de l’Atlas, patchouli, myrrhe, encens, vanille et fève tonka.
Source : Now Smell This

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Farnesiano

par Farnesiano, le 12 septembre 2019 à 08:26

Porter Al Oudh aujourd’hui, pour me rappeler l’été défunt...

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Farnesiano

par Farnesiano, le 6 octobre 2016 à 21:46

Étrange mutation. Les amateurs et amatrices d’Al Oudh se doivent impérativement d’acheter, s’ils la trouvent encore, l’ancienne version de ce parfum, signé Bertrand Duchaufour, dans son flacon oriental limite kitsch - qu’on peut ne pas aimer/ moi j’ai fini par l’adorer : les couleurs mêmes sont celles de ce formidable mixte d’odeurs. Certaines boutiques soldent leurs flacons ancien packaging, courez-y car, soyons clair, le parfum a changé, il n’est plus le même. Les merveilleuses épices divinement fleuries qui vous plongeaient entre ombre et lumière dans un marché oriental en début d’après-midi, semblent désormais écrasées, et ce dès le départ, par un oud puissant, sombre, vespéral et très/trop cuiré, qu’un iris plutôt gras voudrait poudrer... Moins complexe, moins subtil et paradoxalement moins fauve, cet oud facile et somme toute commercial me rappelle celui qu’on repère dès le premier sniff dans tant de créations contemporaines.
Peut-être réussi pour ceux qui n’ont pas connu l’ancienne version, l’Al Oudh actuel m’invite à un voyage moins estival et surtout moins lumineux. J’aimais tant l’aspect " sueur " de l’ancienne version...
Étrange mutation, disais-je.

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par Nezenmoins, le 27 août 2017 à 19:19

Il a bien changé Al Oudh car, même si je le reconnais, c’est ma peau qui reconnait quant à elle la reformulation car il me brûle. Donc je ne peux plus le porter, dommage car je l’aimais bien.
Un bel exemple que les changements de look sont souvent des changements de formules.

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Nezenmoins

par Nezenmoins, le 2 avril 2016 à 16:08

Je profite d’Al Oudh pour aborder le changement chez L ’Artisan parfumeur. Le packaging a changé, bouteilles boîtes sans pour cela changer le jus à l’intérieur selon la vendeuse. J ’irai voir afin d’avoir un avis sur la question. Mais c’est surtout le prix qui a changé et pour le même parfum, il faut compter 130 euros au lieu de 112 auparavant. Parfum d’Empire avait fait la même chose en augmentant aussi ses prix. On parle de parfum de niche mais les techniques commerciales l’emportent aussi car sous prétexte d’un relooking, on augmente le tarif en douce, en espérant que l’addiction des uns à un parfum ne sera pas freinée par cette augmentation en douce. Si le jus n’a pas changé, si celui-ci n’a pas bénéficié d’un plus, la tenue d’Al Oudh par exemple, je passerai mon chemin pour cette marque.

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Farnesiano

par Farnesiano, le 1er juillet 2015 à 09:52

Aujourd’hui, je porte Al Oudh, parfum auquel j’attribuerais volontiers 4 étoiles pour sa singularité, son audace, sa splendeur orientale toute en épices, bois et baumes. Une note fleurie apparaît néanmoins qui le " féminise " délicieusement et qui proviendrait de la rose, fleur orientale s’il en est. Pas évident à porter et malgré, ou justement à cause d’un cumin très évocateur de sueur, Al Oudh est à conseiller l’été. Ou en soirée, avec le risque de répulser certains sujets que vous vouliez séduire...

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Nezenmoins

par Nezenmoins, le 5 juin 2015 à 20:43

Je connais Al Oudh depuis sa sortie. J’ai décidé la semaine dernière de l’acheter et de tenter l’aventure du Oud de l’Artisan. Aprés M7 de YSL, c’est différent. Il m’a fallu trois jours pour l’apprécier car l’approche est trés orientale. Mais finalement , il rend addict par son côté chaud et enveloppant. Une collègue me disait que je sentais le désert, l’été...C ’est un parfum de peau car il se fond sur vous . Le côté animal, on le perçoit au début mais il se mélange à l’ensemble ensuite. Comme beaucoup de parfums de l’Artisan, il faut un peu de temps pour l’apprécier. Mais aprés, on ne peut plus s’en passer. L’artisan est un beau remède contre l’impression de banalité que l’on ressent avec beaucoup de jus. A l’opposé, j’ai senti le dernier Lagerfeld, c’est du déo...

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par ERIC, le 1er juin 2013 à 22:41

Bonjour à tous,

Je possède Al aoudh de l’Artisan parfumeur depuis un an et puisqu’il y a peu de commentaires le concernant sur cette page, j’ai pensé que je pouvais m’y glisser pour en parler un peu. Je ne vais pas le décortiquer, d’abord j’en suis incapable, puis d’autres l’ont fait mieux que moi ( je vous renvoie aux propos le concernant sur deux autres sites Grain de musc et olfactorum ).

Je n’ai pas une admiration sans borne pour le oud, l’orient, les épices et les milles et une nuit. Aussi, quand j’ai acheté ce parfum, j’ai regretté mon achat quelques jours après. J’avais préféré Fou d’absinthe. C’était en juillet, il faisait chaud, j’ai utilisé Al aoudh aux retours de la plage en soirée. L’hiver a passé et ce printemps je lui ai donné une seconde chance. Bien m’en a pris. J’ai besoin maintenant de temps en temps de passer une journée avec lui, pour sentir bon, tout simplement. Certes, il sent un peu la chevrette du savon d’Alep, mais tout est léger, rosé, orangé quand je le porte. Pas de lourdeur aucune. Rose, fleur d’oranger, un peu de jasmin soulèvent ce oud, lui donne de la transparence, le rendent aérien et léger. La magie a opéré, plus je le porte, plus je l’aime. je ne vais pas faire mon connaisseur, mon analyse des notes est finie. J’ai du mal à voir les épices, les bois (c’est dire !). Je découvre avec ce parfum l’évocation délicate, la suggestion forcement fausse d’un orient imaginé et j’applaudis à ce parti pris du parfumeur. Ce aoud est fréquentable (propos de Géraldine) et c’est un délicat tableau orientaliste. Du coup, il m’a donné envie de découvrir cette matière, avec un peu de retard par rapport au succés qu’il a depuis quelques années. Le second que je connais est Black oud de Montale : pas de chevrette mais une croute de vieux fromage paré d’une rose opulente. Mais je n’ai pas dit que je n’aimais pas...
Conclusion : donner toujours ses chances à un parfum, y revenir, travailler dessus s’il nous intrigue...pour le plaisir de la découverte et de la compréhension.
TRès cordialement
Eric

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par Jicky, le 3 juin 2013 à 00:58

Très vrai ! Un parfum finit souvent par nous étonner quand il en a dans le bide, comme Al Oudh !

 

Je rebondis sur votre analyse. En fait, décortiquez les notes est un jeu qu’on fait pour comprendre la construction du parfum, pour s’exercer le nez, pour éventuellement nous aider à mieux nous figurer le parfum et à le structurer dans notre tête. Mais c’est nullement un passage obligé en tant que perfumista. Je vois beaucoup de gens sur auparfum qui "s’inquiètent" de pas être capable de distinguer les notes en pensant qu’ils sont pas doués et tout, mais pas du tout ! En fait, parfois, le but d’un parfum est de ne pas être discernable en tant que tel ! Parfois c’est le cas, comme dans les grands solinotes à l’image de Carnal Flower de Frédéric Malle ou d’Iris Silver Mist, mais la plupart du temps, pas du tout !

 

Je pense à Dzongkha. Avant, j’avais aussi cette manie de toujours vouloir décortiquer le parfum, notamment pour le comprendre, pour me dire "alors ça je sens, ça je vois bien, ça c’est flagrant" ou même "alors ça je passe complétement à côté, ça j’aurais pas pensé mais pourquoi pas" etc. Mais avec Dzongkha, j’étais dans un labyrinthe. Le parfum c’était une boule sur moi, impossible à saisir. Ca m’a gêné, mais en fait, il faut pas. J’ai commencé à bien l’appréhender quand je l’ai vu par sensations !

 

Ainsi, c’est en explicitant avec des mots clairs et précis les sensations que j’avais en le sentant que j’ai pu le comprendre ! Ainsi, j’ai vu mes nuages dans le ciel bleu clair presque électrique, avec des reflets verdâtres. J’ai vu la poudre grise s’envoler, j’ai vu les picots noirs. J’ai senti comme cette impression de rapeux (type langue de chat), le frottement d’une bourse en cuir, etc. Et c’est à partir de ces sensations que j’ai compris le parfum en soi, mais aussi dans la technique (l’iris, le patchouli, l’encens, la cardamome, les épices, etc...)

 

Parfois, il y a des parfums évidents de sensations. Je pense tout de suite au splendide Essence de Narciso Rodriguez, qui est d’une abstraction limpide à mon nez, en ce sens que je vois clairement des images dans ma tête qui en soi n’ont rien d’olfactif, mais qui me permettent de lier le parfum à quelque chose de concret pour le nez (je sais pas si je suis clair ?). Récemment, l’Eau de Narcisse Bleu est un chef d’oeuvre du genre aussi !

 

Voilà, c’était la réflexion du soir ^^

Vive l’odorat !

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par ERIC, le 3 juin 2013 à 19:27

Bonsoir Jicky,
Merci pour cette approche de l’analyse des parfums. Oui, travailler par images en premier lieu, vous avez été clair : se figurer des images, des couleurs, des sensations. Lorsqu’elles sont récurrentes à chaque sniffage du parfum, le tableau visuel et tactile de ce dernier se compose et on en garde une empreinte, un descriptif jouant sur les deux sens, vue et toucher. Ce tableau sera presonnel, certes, mais lorsqu’on va rencontrer ces mêmes élèments de description lors de la rencontre avec une autre fragrance, on ne pourra que se dire que tiens,s’il y a là la même touche, c’est qu’il y a présence de la même note olfactive entre le parfum A et ce parfum B. Ces constatations empiriques, lorsqu’elles sont confrontées aux descriptifs faisant appel cette fois-ci à l’odorat (recoupage des infos de la marque et lecture de Auparfum.com) permet alors d’associer sensations des deux premiers sens (vue et toucher) au troisième (odeur). La démarche de cet empirisme émotionnel enrichi alors de l’apport livresque, devient alors scientifique au final et j’y adhère. Ai- je bien résumé vos propos ?
Je préfère de loin cette façon de faire à celle qui consiste à dire d’un coup : ça sent cela. Pour avoir travaillé un moment dans le milieu de la fabrication de la bière et ayant monté des panels de dégustateurs, je sais qu’il est difficile de mettre 10 personnes d’accord sur une note de litchi, de rose, de grains grillés...

Donc, cher Jicky, je vais essayer de travailler ainsi. Loin de moi l’idée de parler d’un parfum en ressortant les pyramides olfactives que j’auras lues...et non comprises. je suis arrivé à un âge où l’esbrouffe ne me tente plus. Si je parle d’un parfum et de ses notes, c’est que je les ai réellemet dans le nez. Je parle toutefois souvent d’images globales, plus évocatrices et pluridirectionnelles que les abstractions vers lesquelles je vais essayer de tendre, et du coup elles sont complétement perso et liées à une culture, une région, une vie, une éducation...Par exemple Sables pour moi est une infusin de ces grands fenouils secs de la côte catalane au mois de septembre, Patchouli intense de Nicolaï est une savonette et des baies roses écrasées au mortier, ISM un distillat de racines terreuses et fraiches, Daim blond une veste en cuir beige chauffée par le soleil derrière une vitre de voiture avec une tartine à peine grillée recouverte de confiture d’abricot, L’Heure bleue est une gomme d’écolier neuve et tiède (?) C’est basique, c’est une première étape. Vous m’avez donné la clef pour accéder à une seconde marche et je vous en remercie.
Très cordialement
Eric

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par Jicky, le 4 juin 2013 à 01:51

Bonjour Eric !

 

En fait, c’est pas du tout une ligne de conduite à adopter de manière définitive ce que je dis là ^^. C’est plus une sorte de remarque sur les personnes qui se considèrent comme nul en "décorticage de parfum". Avec un (petit) recul, on peut voir que les passionnés ont plusieurs "périodes" dans leur passion du parfum : un stade où on essaye de tout décortiquer, un stade où on essaye de faire plein d’associations avec des trucs qu’on plus ou moins rien à voir (les évocations), un stade où on lie les deux, un stade hyper technique, etc etc. En effet, c’est très dur de parler d’un parfum, étant donné que l’olfactif n’a pas son propre vocabulaire. La dernière fois je lisais un bouquin sur les couleurs où l’auteur expliquait que c’était très dur de parler des couleurs puisqu’on ne pouvait pas en parler objectivement (même la notion de chaud/froid étant culturelle, temporelle : le bleu était une couleur chaude au moyen-âge).

 

Pour l’odorat c’est presque pire, on a du mal à définir une odeur en soi. On a bien nos quelques adjectifs comme "boisé", "jasminé" ou encore "aldéhydé". Mais on rentre dans quelque chose qui ne parle pas vraiment aux gens. Une personne lambda ne sait même pas ce que peut être une note boisée. Même plus : elle ne connait pas l’odeur du jasmin. Alors tout de suite quand on balance que "le coeur du parfum est hyper salicylé", alors là la personne elle tombe dans les pommes ^^

 

Ainsi ce que je vous dis, c’est juste pour vous guider sur votre propre chemin à vous. Par exemple, mon petit bug perso (ce que je fais de manière quasi-systématique sans que les autres passionnés le fassent) c’est au niveau du sens des associations : généralement, les gens quand ils sentent un parfum, ils font des liens avec une musique, une film, un livre, un plat, une expérience, une sensation... Bref, le cheminement va dans le sens parfum ---> sensation/objet.

Dans mon cas c’est différent, quand je sens un parfum, je reste purement dans le parfum. En revanche, dès que j’écoute une musique, voit un film, lit un livre je l’associe à un parfum (ou même n’importe quoi, une fois en 2011 je courrais dans la rue en pleine nuit et il neigeait et j’ai levé les yeux vers le ciel et j’ai vu un lampadaire avec la neige qui tombait, et tout de suite je me suis dit "oh my god, je suis dans un parfum" !). Ca fait sensation/objet ---> parfum.

 

Quand je vous lis vous, la plupart du temps on remarque - comme vous l’avez dit dans vos messages - que vous parlez d’endroits géographiques ou de moments. On est clairement dans l’espace/temps qui vous a marqué, et vous a forgé votre approche olfactive. Vous le dites vous même : "et du coup elles sont complétement perso et liées à une culture, une région, une vie, une éducation".

On en apprend beaucoup sur les gens en les lisant sur le parfum ! Et c’est ça qui est magique ! Ainsi, le message c’était vraiment pour dire "ne vous forcez pas à l’analyse des ingrédients pour parler d’un parfum. Si vous en avez besoin, si vous avez une perception que vous avez envie d’expliciter et de partager, n’hésitez pas. Cependant, gardez votre approche du parfum à vous, on aura en tant que lecteur à l’approche différente une manière nouvelle de voir le parfum, d’en apprendre plus sur lui et d’en apprendre plus sur la personne qui écrit" !

Si vous saviez le nombre de messages cachés dans un texte écrit sur le parfum... Parfois, quand je me relis moi je me dis "oh mon dieuuuuu tu aurais pu cacher un peu plus ça, là t’es grillé !!" ou "mon dieu, on dirait un épisode de téléréalité sur ma vie", alors qu’en soi je parle juste d’un parfum et pas de mon lieu de naissance ou de ma dernière conquête (mouah ah ah ;) )

 

Il y a une presque-infinité d’approches du parfum tout comme il y a une presque infinité de personnes sur terre. Ainsi, si vous avez le besoin de passer par ce que vous appelez "l’empirisme émotionnel" pour parler d’un parfum, alors oui ! Foncez !

 

Donc j’en profite pour étendre mon message : merci à tous les participants d’auparfum à tous les lecteurs de l’ombre aussi qui nous lisent sans intervenir, à tous les blogueurs, les lecteurs, les professionnels, les voisins de métro et tout... C’est votre approche du parfum qui nous émerveille aussi sur cet objet insaisissable qu’est le parfum.

Je reste persuadé d’une chose : le parfum nous aime. Et il nous aime avec toutes les névroses qu’il nous apporte, toutes les passions, les haines et les circonspections que cela implique.

C’est un plaisir de vous lire vous tous sur le parfum pour en apprendre plus sur le parfum, sur vous, sur moi, sur nous.

 

Vive l’odorat :D !

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par lolo, le 4 juin 2013 à 08:20

Parfaitement d’accord Jicky. Tout est dit.

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par ERIC, le 4 juin 2013 à 08:43

Merci Jicky de ce long et très tardif message. Je culpabilise un peu de vous avoir fait coucher si tard moi ! A bientôt.
Très cordialement
Eric

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par Jicky, le 4 juin 2013 à 09:30

Oh vous savez c’est pas grave, je suis en vacances là ^^

merci en tout cas !

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par Farnesiano, le 7 novembre 2013 à 17:02

Jicky, à la recherche d’avis et de critiques sur Al Oudh, je découvre à l’instant ce long et très instructif échange que vous avez eu avec Eric sur l’analyse des parfums : c’est remarquable d’intelligence, de justesse, et de respect pour nous tous, pefumistas amateurs : vous nous décomplexez tous et ça fait du bien ! Décortiquer un parfum n’est pas chose aisée et comme vous le soulignez, nous y allons tous par des chemins différents, par un réseau d’associations et un tissu de correspondances qui nous sont propres, en fonction de notre sensibilité olfactive, de notre éducation, de nos souvenirs, etc. Aux nouveaux et nouvelles venus sur ce site, vous devriez recommander cette page d’AP (et la rappeler aux anciens) car elle nous encourage tous à se lancer davantage et à poursuivre cette belle aventure qu’est le voyage dans le monde du parfum. Merci !

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par Jicky, le 7 novembre 2013 à 21:21

Bonsoir Farnesiano !

 

C’est moi qui vous remercie, je ne savais plus où était passé cet échange.

C’est un petit peu bisounoursland mais c’est quand même en partie vrai je pense... C’est tellement bénéfique et source d’apprentissage que d’écrire et de lire sur le parfum...

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par Farnesiano, le 7 novembre 2013 à 23:11

Ni Bisounours, ni Barbapapa, ni Hello Kitty : les Télétubbies vont plus loin...
Et ils sentent bon l’herbe verte ;-)

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par momochi, le 25 octobre 2011 à 22:20

Merci Jle et Géraldine pour vos conseils, je vais filer sentir "Absolue pour le Soir" (en espérant que je le trouve à Strasbourg)... D’après ce que j’ai lu à son sujet, il risque de me faire le même effet qu’Habanita : pas facile à apprivoiser, carrément spécial voire rebutant la première heure, puis sublime par la suite... On verra bien !

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par pureoud, le 20 août 2012 à 08:52

Bonjour,
En tant que producteur de oud,je souhaiterai le promouvoir en huile essentielle.

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par Tangerine, le 25 octobre 2011 à 16:05

Oui, le oud est le nom du luth dans les pays arabes, en Grèce et en Arménie - le nom vient de l’arabe al-oud, signifiant… le bois.
Ce qu’on appelle oud en parfumerie, ou bois d’agar, est une résine sécrétée par un certain type d’arbre.

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par zoizozette, le 25 octobre 2011 à 16:11

Daccord !! Merci beaucoup Tangerine !

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par zoizozette, le 25 octobre 2011 à 15:56

Bonjour !Dites moi ,ma question paraitra bebete mais qu’est ce que le oud en parfumerie ? Je croyais avant de decouvrir ce site qu’il s’agissait d’un instrument de musique traditionnel.Merci d’eclairer le cerveau d’une neophite

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Améthyste

par Améthyste, le 25 octobre 2011 à 11:46

Bonjour momochi, bienvenue sur auparfum ! Franchement tu as du goût pour tes parfums favoris, ce sont de grands classiques. Et tu as raison quand tu dis que le parfum ne doit faire qu’un avec nous. Quoi de plus normal après tout.
Pour Al Oudh, je n’ai pas de gros souvenirs, mais je crois qu’il ne m’avait fait ni chaud ni froid. Puis j’en ai marre du Oud, il est sorti par trop de marques, juste histoire pour la plupart d’établir la concurrence sur le marché, vu que c’est tendance.

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par momochi, le 25 octobre 2011 à 11:54

Merci pour ton commentaire ! C’est vrai qu’on parle beaucoup du oud en ce moment, mais je n’ai pas pris le temps d’aller sentir les nouvelles créations, c’est donc en "vierge" du oud (ou presque, parce qu’il était quand même présent en parfumerie avant ce nouveau buzz) que j’ai découvert Al Oudh, c’est peut-être pour cela qu’il m’a marqué !

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par Géraldine, le 25 octobre 2011 à 13:34

Bonjour Momochi,
Al Oud fait partie des ouds civilisés et fréquentables. Il est, qui plus est, parfaitement mixte.
Je suis moi aussi fan d’Habanita et d’Ambre Sultan, je les porte tous deux régulièrement. Si tu as l’occasion et l’envie d’élargir tes horizons, tu pourrais essayer "Absolue pour le soir" de Francis Kurkdjan (pfff je sais jamais comment s’écrit son nom) : un ambre musqué très animal, un peu violent au premier pschitt, mais vraiment très beau. Chez Lutens tu dois avoir envie d’acheter la moitié des références, non ? ;-)

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par jle, le 25 octobre 2011 à 14:17

Oh oui Géraldine, excellentissime conseil pour toutes celles et ceux qui recherchent un parfum de peau hautement évocateur, provocateur, déclencheur... Francis Kurkdjian a créé le parfait pousse-au-vice !!

 

Absolue pour le Soir compile tout ce qui peut le mieux évoquer la peau, le désir, la chaleur, la relation charnelle, bref, je suis un fan absolu. Pas de oud à ma connaissance dedans mais tout ce qu’il faut pour tomber pile poil dans ce qui te plait et t’attire Momochi.

 

Bienvenue !!

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