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Santal Massoia

Hermès - Les Hermessences

Flacon de Santal Massoia - Hermès
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L’insoutenable légèreté de l’Ellena

par jle, le 4 mars 2012

On l’aime ou on le déteste. Capable de créer pour le grand public sans que l’on crie trop à l’assemblage “marketotracté”, Jean-Claude Ellena dispose aussi d’un espace de liberté appelé Hermessences, une collection de manuscrits légers, des nouvelles lumineuses tout en finesse et pudeur où il fait se côtoyer des histoires connues comme originales, dont le trait commun est la subtilité. Problème, la blogosphère “flagrançophile” parle parfois d’antichambre de l’insuffisance, voire d’évanescence pour ces jus délicats. Je dirai juste que c’est la manière chic et très chère de faire de la "niche" chez Hermès.

 

Santal Massoïa, le dernier-né, ne déroge pas au style Ellena et rejoint des perles telles qu’Ambre Narguilé, Vétiver Tonka, Poivre Samarcande ou Vanille Galante pour n’en citer que quatre. Après une attaque poivrée soulignée par de fines notes balsamiques, le lait et le santal s’installent dans un accord daim et bois légèrement fumé porté par une discrète assise fleurie de toute beauté. Je ne suis pas du genre à commenter les flacons ou encore moins les bouchons, mais il faut reconnaître que le sur-piquage en daim beige-gris du bouchon est criant de justesse outre qu’il est digne de la réputation de maroquinier d’exception qu’est Hermès. Vaporiser sur soi Santal Massoïa revient à se vêtir de daim, quelques fleurs dépassant de la poche avant. Une fois le bois en tête assagi, il laisse sur la peau une tendre et chaude "flaveur" rappelant par bien des côtés la fourrure d’un chat qui aurait fait une balade dans des sous-bois. La délicatesse de ce parfum n’a d’égal que la complexité à en saisir les ingrédients. Parfois pointe l’idée d’un fruit comme la figue confite vite chassée par celle d’une amande sans aucune amertume ni sucre ajouté ou d’un lait de coco sortant de sa noix, à d’autres moments on sent pointer une violette. Santal Massoïa n’est pas moderne, pas plus qu’impertinent ou follement fédérateur non, sa force réside dans son remarquable équilibre entre une tête boisée, un cœur lacté et un fond fleuri, le tout servi avec pudeur et délicatesse.

 

Considéré par certains comme une déclinaison “flankerisante” de Bois Farine, le dernier né de JCE s’en distingue pourtant assez sensiblement. Là où il déploie sous ses ailes boisées et lactées un corps rassurant et tendre, aussi biscuité que complexe, Bois Farine se révèle bien plus abrupt, poudré, presque sableux avec ses notes torréfiées et grasses de noisette et cacahuète et un boisé quasi englouti par sa puissante note farineuse. Je ne pense pas qu’il faille les comparer ou les opposer car même s’ils sortent du même nez, ces deux parfums ne s’adressent pas au même public et la démarche créatrice trahit une nette évolution vers l’épure et la simplicité, bien entendu apparente. Santal Massoïa plaira à une clientèle plus large et tout aussi masculine que féminine là où Bois Farine intéressera beaucoup plus les hommes à la recherche d’un sillage à nul autre pareil, limite entêtant.

 

Aurait-il malgré tout été possible de doser Santal Massoïa en Eau de Parfum sans en dénaturer le propos qui, de l’aveu même de son créateur, se veut énigmatique et doit interpeller sans entêter ; sans doute oui. Vaporisé 10 fois sur tout le corps, presque une seconde douche, il tient la journée et offre même un discret sillage sans perdre de sa finesse, malheureusement à 170€ les 100ml, cela signifie dépenser environ 4 euros par jour pour s’en vêtir. Il paraît que le luxe n’a pas de prix, chez Hermès on est d’un avis contraire et tant pis si cela oblige nombre de clients potentiels à passer leur chemin. Parfois le trop n’est pas l’ennemi du bien, surtout quand ce dernier confine au pas assez. Frédéric Malle a bien à son catalogue la Cologne Bigarade et la Bigarade Concentrée...

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par BoeingMan2b, le 21 novembre 2017 à 16:43

Etant grand fan de la littérature "Elleniste" (surtout dans la collection Hermessence), je me suis rendu dans la boutique Hermès de Nice (Av. de Verdun), dans l’optique de m’offrir Vétiver Tonka, cette fragrance qui m’a depuis quelques mois, rendu fou !
N’ayant pas pu acquérir cette poésie raffinée (puisqu’elle était en rupture de stock), la vendeuse m’a gentiment conseillé Santal Massoia, l’une des seules Hermessence avec Cuir d’Ange, que je n’avais pas encore eu le privilège de tester.
Et bien...Ce fut l’extase ! Tout au long de la journée je me suis surpris à vénérer le bras sur lequel s’apposait ce doux accord pulvérisé par le tester de boutique, de bois de santal et de massoia.

Je n’avais cependant pas compris qu’il me fallait l’adopter, Vétiver Tonka m’avait laissé une emprunte telle, que je m’étais promis de l’acheter à la boutique Hermes de l’aéroport de Nice lors de mon retour...

Arrivé à l’aéroport une semaine plus tard, j’ai demandé à la vendeuse de m’aider à choisir entre ces deux merveilles olfactives. Elle m’a donc tellement aidé que j’ai finalement acheté Santal Massoia.

Dès les premières minutes après vaporisation, on y reconnaît cette facette lactée du bois de santal que Jean-Claude Ellena promet dans sa description, mais non sans aspect boisé.
Puis, passé une petite heure, c’est le daim qui s’impose tout en dignité respectable et harmonieuse, avec une note très florale (qui personnellement, me rappelle un peu le muguet) et où le santal du début récupère une senteur fumée.
Bref, c’est un parfum très doux, très frais et très étonnant. On y retrouve la douceur de s’asseoir - après une journée remplie de contraintes et de course contre la montre - sur un immense canapé de daim gris, enroulé dans un plaid chaud sans excès (et pourquoi pas le modèle Avalon, de la maison du 24 faubourg ?) prenant le temps qu’il faut pour récupérer un peu de sérénité, à la belle disparition du soleil d’hiver qui assombrit le salon.

A partir du moment où l’on trouve l’inspiration pour décrire un parfum, il va sans dire qu’il n’est que succès. C’est là mon jugement (peut-être loin d’être universel, certes), et je pense avoir trouvé mon bonheur, une fois de plus, grâce à Jean-Claude Ellena qui a somptueusement marqué le patrimoine olfactif de chez Hermes, avant la succession de son poste, a Christine Nagel.

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Mado33

par Mado33, le 21 mars 2012 à 17:55

Jolie critique ! Je ne connais pas cette collection exclusive à Hermès, pourtant ici l’Artisan Parfumeur et Hermès sont juste à côté l’un de l’autre. Je vais sûrement aller à sa découverte un de ces jours, Bois Farine est un parfum que j’adore, bref il n’y a qu’un pas pour aller sentir ce Santal Massoia... Cela dit, vu le prix j’achèterai peut être les 4 petits flacons qu’Hermès propose, à l’origine je voulais surtout sentir Ambre Narguilé donc à suivre.

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par alexis, le 4 mars 2012 à 23:32

Je suis nouveau sur ce site, je m’intéresse assidûment au parfum depuis presque un an, je suis donc un néophyte, mais pour ma part je trouve que ce parfum est intéressant seulement les premières minutes, une fois que l’anis apparaît il devient vite ennuyeux.
Celui que je préfère dans cette série est poivre samarcande, je trouve qu’il tient plutôt bien pour une hermessence, le poivre s’en va vite mais la suite est très intéressante. Que pensez vous de ce dernier ?

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par Patrice, le 5 mars 2012 à 11:03

Poivre Samarcande est l’un de ceux avec lequel j’ai le plus de mal. Je le trouve dissonant, désagréable... mais ce n’est que mon point de vue !
Quant à la tenue, ce n’est pas ce que je recherche à tout prix pour une Hermessence, et ce n’est pas le critère qui fera qu’une Hermessence me plaira le plus.
J’ai plutôt un faible pour Vanille Galante, dans laquelle je trouve l’un des lys les plus réalistes de la parfumerie (malgré une note grasse d’huile de friture).
J’aime beaucoup Iris Ukiyoé ainsi que Ambre Narguilé.

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par hermyonee, le 5 mars 2012 à 14:55

bonjour, j’avoue avoir un peu de mal avec les créations de JC Ellena, un peu comme devant des oeuvres d’art très conceptuelles, très épurées ; j’aimerais bien les aimer, mais je les trouve souvent un peu trop froides et immatérielles comme créations. et je trouve la plupart des Hermessences plutôt masculines ; J’ai essayé Vanille Galante, et je l’ai trouvé trop froide, vraiment plus lys que vanille. Mais ce Santal al’air de me plaire, j’ai hâte de le sentir !

Selon vous, quelles sont les fragrances plus "féminines" des Hermessences ?

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par jle, le 5 mars 2012 à 15:16

Vaste débat que de donner un sexe à des parfums.

 

Je suis un vieux, vieux jeu et globalement bien doté en testostérone, pourtant je porte nombre de parfums dits féminins avec délectation et sans aucun esprit de transgression. Juste le plaisir de me vêtir d’une tendre seconde peau plutôt que d’un stéréotype de jus de bois agrumeux et musqué à outrance.

 

Portez ce qui vous plaît à vous, hors de toute considération marketing ou d’habitude, et avant tout faites ce que tout le monde devrait faire. Allez dans un magasin Hermès ou bien au Printemps à Paris et commencez par sentir tous les bouchons, puis testez sur papier les 2/3 parfums qui vous plaisent et ensuite passez à la peau. Un sur la paume gauche et un sur la droite. Pas plus.

 

N’achetez pas sur un coup de tête. Attendez de sentir l’évolution dans la journée et complétez avec vos papiers pour retrouver un peu de tête. Si le lendemain vous en avez toujours envie...passez en mode CB ;0)

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par barmassa, le 5 mars 2012 à 17:01

Je trouve rose ikebana plus féminin que les autres hermescences.....et magnifique.

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par jle, le 5 mars 2012 à 11:09

Que c’est un très bon parfum dès lors qu’on n’est pas "allergique" au poivre et à un côté à la fois épicé et évanescent. Sur ma peau (est-elle particulièrement gloutonne ??) il tient à peine mieux que Brin de réglisse qui lui m’abandonne lâchement au bout de quelques petites heures.

 

Dans un autre registre et pour rester dans les Hermessences, le plus costaud de la gamme est Vétiver tonka suivi de près d’Ambre narguilé qui est à la douceur et à la séduction ce que Diana Krall est au soft jazz...Rahhhh lovely !!

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par hermyonee, le 8 mars 2012 à 16:27

oui, j’aime bcp Ambre NArguilé, et aussi ce Santal ; un autre Santal qui m’a bcp plu mais qui hélas est aussi hors de prix c’est celui des collections de Tom Ford.

Sinon, il y a pas longtemps j’ai découvert enfin Safran Troublant de l’Artisan, et je dois avouer que c’est mon préféré, avec Traversée du Bosphore, et Bois Farine...

Pour les Hermessences, si je pouvais je sais que je craquerais sur plusieurs ...

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Jicky

par Jicky, le 4 mars 2012 à 19:57

Jle, top ! Vraiment bonne interpretation de cette dernière née des Hermessences.

Cela dit, je comprends vraiment ceux qui sont lassés. Pour ma part, j’avoue que celui "passe", par son côté figue. Après, voila, je ne lui trouve rien de particulièrement saisissant tant il peut etre discret.

 

En fait, pour tout dire, je sens plus de santal dans le fond de Vanille Galante que dans ce Santal Massoia. Mais je rebondis sur les propos d’une logique implacable de Thomas : le santal est un bois lacté. Or, quel est un des ingrédient des plus lactés de la parfumerie => la figue.

Cohérence toujours...

 

Je n’ai jamais eu le temps de le porter une vraie fois, mais j’avoue prendre un réel plaisir à me le mettre régulièrement sur le poignet (régle numéro 4 du perfumista étudiant : toujours avoir des échantillons des Hermessences dans sa trousse).

 

Du Hermès comme il est bon dans sentir. Mais bon, il faudrait bien un truc un peu plus "WAAAACHEEE" la prochaine fois ;)

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par Jicky, le 4 mars 2012 à 21:03

(j’en profite ni vu ni connu puisque personne m’a vu...)

Un Hermès comme il fait bon d’en sentir

 

*sifflote*

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par Patrice, le 4 mars 2012 à 21:09

Non non, personne ne t’avait vu... ;)
Pour en revenir à ce Santal Massoia, l’unique fois où je l’ai senti, je n’y ai trouvé ni figue, ni santal !!!
Rien qu’une vague odeur anisée... et Jicky, j’étais avec toi à ce moment là ! C’était à la fin d’une journée de "sniffage" intense dans la capitale, mais je connais mon nez, et je sais qu’il est capable de tenir une journée entière à sentir, sans trop défaillir. Mais là, je pense qu’une anosmie est venue se glisser dans l’histoire, car en plus de le sentir à peine sur touche et sur peau, il n’y avait que cette note d’anis que je réussissais à percevoir.
Vraiment frustrant !
Il faudra que je retourne l’essayer...

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par Jicky, le 4 mars 2012 à 21:32

Mais je ne vous connais pas jeune homme ! Rustre !

 

(cela dit, oui, anisé il est)

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par Jicky, le 4 mars 2012 à 21:33

Mon dieu... Me voilà à parler comme ce fantasque bonhomme vert !

==> il est anisé

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par jle, le 5 mars 2012 à 11:15

Merci pour tes mots Alexis.

 

Pour moi il est surtout la plus belle représentation olfactive du daim. Des cuirs on en a des vaches entières alors que des daims fins et racés, veloutés et moussants, de vrais gants, non, des escarpins de femme haut perchés et sortant de leur boîte, ça nous manquait.

 

Je vous jure que plus d’une fois j’ai sniffé le bouchon en me disant que seule la peau piquée dessus pouvait exhaler une telle senteur. Même pas...

 

Merci JCE !!

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